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  • Champs de sel, bassin sud de la Mer Morte. La Mer Morte, alimentée par le Jourdain, est un lac d'eau salée d'une surface approximative de 810 km2, partagé entre Israël, Jordanie et Territoires Palestiniens occupés. Au point le plus bas du globe à 417 mètres sous le niveau de la mer, la salinité de la Mer Morte est de 27,5 % et son niveau d'eau baisse d'un mètre par an en moyenne. Le dessèchement est tel qu'une large bande de terre craquelée la scinde désormais en deux bassins distincts. La cause essentielle en est la surexploitation croissante du Jourdain à des fin d'irrigation. Une autre cause considérable est l’évaporation de volumes importants d'eau menée par les usines de Dead Sea Works pour la production de produits à base de potassium. Écologie, économie et géostratégie y sont continuellement un peu plus fragilisés. Israël, mai 2011
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  • Champs de sel, bassin sud de la Mer Morte. La Mer Morte, alimentée par le Jourdain, est un lac d'eau salée d'une surface approximative de 810 km2, partagé entre Israël, Jordanie et Territoires Palestiniens occupés. Au point le plus bas du globe à 417 mètres sous le niveau de la mer, la salinité de la Mer Morte est de 27,5 % et son niveau d'eau baisse d'un mètre par an en moyenne. Le dessèchement est tel qu'une large bande de terre craquelée la scinde désormais en deux bassins distincts. La cause essentielle en est la surexploitation croissante du Jourdain à des fin d'irrigation. Une autre cause considérable est l’évaporation de volumes importants d'eau menée par les usines de Dead Sea Works pour la production de produits à base de potassium. Écologie, économie et géostratégie y sont continuellement un peu plus fragilisés. Israël, mai 2011
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  • Champs de sel, bassin sud de la Mer Morte. La Mer Morte, alimentée par le Jourdain, est un lac d'eau salée d'une surface approximative de 810 km2, partagé entre Israël, Jordanie et Territoires Palestiniens occupés. Au point le plus bas du globe à 417 mètres sous le niveau de la mer, la salinité de la Mer Morte est de 27,5 % et son niveau d'eau baisse d'un mètre par an en moyenne. Le dessèchement est tel qu'une large bande de terre craquelée la scinde désormais en deux bassins distincts. La cause essentielle en est la surexploitation croissante du Jourdain à des fin d'irrigation. Une autre cause considérable est l’évaporation de volumes importants d'eau menée par les usines de Dead Sea Works pour la production de produits à base de potassium. Écologie, économie et géostratégie y sont continuellement un peu plus fragilisés. Israël, mai 2011
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  • Champs de sel, bassin sud de la Mer Morte. La Mer Morte, alimentée par le Jourdain, est un lac d'eau salée d'une surface approximative de 810 km2, partagé entre Israël, Jordanie et Territoires Palestiniens occupés. Au point le plus bas du globe à 417 mètres sous le niveau de la mer, la salinité de la Mer Morte est de 27,5 % et son niveau d'eau baisse d'un mètre par an en moyenne. Le dessèchement est tel qu'une large bande de terre craquelée la scinde désormais en deux bassins distincts. La cause essentielle en est la surexploitation croissante du Jourdain à des fin d'irrigation. Une autre cause considérable est l’évaporation de volumes importants d'eau menée par les usines de Dead Sea Works pour la production de produits à base de potassium. Écologie, économie et géostratégie y sont continuellement un peu plus fragilisés. Israël, mai 2011
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  • Champs de sel, bassin sud de la Mer Morte. La Mer Morte, alimentée par le Jourdain, est un lac d'eau salée d'une surface approximative de 810 km2, partagé entre Israël, Jordanie et Territoires Palestiniens occupés. Au point le plus bas du globe à 417 mètres sous le niveau de la mer, la salinité de la Mer Morte est de 27,5 % et son niveau d'eau baisse d'un mètre par an en moyenne. Le dessèchement est tel qu'une large bande de terre craquelée la scinde désormais en deux bassins distincts. La cause essentielle en est la surexploitation croissante du Jourdain à des fin d'irrigation. Une autre cause considérable est l’évaporation de volumes importants d'eau menée par les usines de Dead Sea Works pour la production de produits à base de potassium. Écologie, économie et géostratégie y sont continuellement un peu plus fragilisés. Israël, mai 2011
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  • Champs de sel, bassin sud de la Mer Morte. La Mer Morte, alimentée par le Jourdain, est un lac d'eau salée d'une surface approximative de 810 km2, partagé entre Israël, Jordanie et Territoires Palestiniens occupés. Au point le plus bas du globe à 417 mètres sous le niveau de la mer, la salinité de la Mer Morte est de 27,5 % et son niveau d'eau baisse d'un mètre par an en moyenne. Le dessèchement est tel qu'une large bande de terre craquelée la scinde désormais en deux bassins distincts. La cause essentielle en est la surexploitation croissante du Jourdain à des fin d'irrigation. Une autre cause considérable est l’évaporation de volumes importants d'eau menée par les usines de Dead Sea Works pour la production de produits à base de potassium. Écologie, économie et géostratégie y sont continuellement un peu plus fragilisés. Israël, mai 2011
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  • Parc Monceau, la Naumachie, bassin ovale bordé d'une colonnade corinthienne qui provient d'une église de Saint-Denis détruite en 1719.
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  • Dans le bassin sud de la Mer Morte, les usines de Dead Sea Works extraient la potasse après évaporation de l'eau. Dead Sea Works est le quatrième producteur mondial de produits à base de potassium exportés internationalement. Israël, mai 2011
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  • Champs de sel, bassin sud de la Mer Morte. La Mer Morte, alimentée par le Jourdain, est un lac d'eau salée d'une surface approximative de 810 km2, partagé entre Israël, Jordanie et Territoires Palestiniens occupés. Au point le plus bas du globe à 417 mètres sous le niveau de la mer, la salinité de la Mer Morte est de 27,5 % et son niveau d'eau baisse d'un mètre par an en moyenne. Le dessèchement est tel qu'une large bande de terre craquelée la scinde désormais en deux bassins distincts. La cause essentielle en est la surexploitation croissante du Jourdain à des fin d'irrigation. Une autre cause considérable est l’évaporation de volumes importants d'eau menée par les usines de Dead Sea Works pour la production de produits à base de potassium. Écologie, économie et géostratégie y sont continuellement un peu plus fragilisés. Israël, mai 2011
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  • En bordure du bassin sud de la Mer Morte.
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  • Parc Monceau, la Naumachie, bassin ovale bordé d'une colonnade corinthienne qui provient d'une église de Saint-Denis détruite en 1719.
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  • Canal construit par Dead Sea Works, le quatrième producteur mondial de produits à base de potassium. Les usines de Dead Sea Works sont situées sur le bassin sud de la Mer Morte, ses produits chimiques sont exportés internationalement. Israël, mai 2011
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  • Complexe d’hôtels d'Ein Bokek, bassin sud de la Mer Morte. Israël, mai 2011
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  • En bordure du bassin sud de la Mer Morte.
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  • Dans le bassin sud de la Mer Morte, les usines de Dead Sea Works extraient la potasse après évaporation de l'eau. Dead Sea Works est le quatrième producteur mondial de produits à base de potassium exportés internationalement. Israël, mai 2011
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  • Dans le bassin sud de la Mer Morte, les usines de Dead Sea Works extraient la potasse après évaporation de l'eau. Dead Sea Works est le quatrième producteur mondial de produits à base de potassium exportés internationalement. Israël, mai 2011
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  • Complexe d’hôtels d'Ein Bokek, bassin sud de la Mer Morte. Israël, mai 2011
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  • Parmi les pays traversés par le Nil, l'Égypte et l'Éthiopie connaissent une croissance démographique exceptionnelle : de 20 millions d'habitants dans les années 50, leurs populations respectives sont passées à 80 millions aujourd'hui. Dans un futur proche, ce seront 300 millions d'habitants qui devront s'entendre sur l'usage des eaux du fleuve dont dépend leur survie. Le précédent ministre égyptien de l'eau a déjà menacé l'Éthiopie d'une guerre si celle-ci poursuivait son projet de barrage sur le Nil. La lutte pour la survie est engagée.<br />
Cela fait quelques années que des investisseurs étrangers envahissent l'Éthiopie. Les Chinois construisent des routes, les Hollandais cultivent des roses, les Indiens et les Saoudiens investissent des milliards de dollars dans des plantations de sucre, de maïs, de riz et de palme. La valorisation de ces millions d'hectares de terre fertile, principalement dans le bassin du Nil de la partie occidentale du pays, devrait améliorer la production alimentaire, créer des emplois et développer des régions isolées du pays. C'est ce qu'espère le gouvernement éthiopien.
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  • Dans le bassin sud de la Mer Morte, les usines de Dead Sea Works extraient la potasse après évaporation de l'eau. Dead Sea Works est le quatrième producteur mondial de produits à base de potassium exportés internationalement. Israël, mai 2011
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  • Canal construit par Dead Sea Works, le quatrième producteur mondial de produits à base de potassium. Les usines de Dead Sea Works sont situées sur le bassin sud de la Mer Morte, ses produits chimiques sont exportés internationalement. Israël, mai 2011
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  • Dans le bassin sud de la Mer Morte, les usines de Dead Sea Works extraient la potasse après évaporation de l'eau. Dead Sea Works est le quatrième producteur mondial de produits à base de potassium exportés internationalement. Israël, mai 2011
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  • En bordure du bassin sud de la Mer Morte.
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  • Complexe d’hôtels d'Ein Bokek, bassin sud de la Mer Morte. Israël, mai 2011
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  • Station de pompage pour alimenter en eau les bassins d’évaporation pour l'extraction de potasse. Dead Sea Works est le quatrième producteur mondial de produits à base de potassium exportés internationalement. Israël, mai 2011
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  • La Mer Morte, alimentée par le Jourdain, est un lac d'eau salée d'une surface approximative de 810 km2, partagé entre Israël, Jordanie et Territoires Palestiniens occupés. Au point le plus bas du globe à 417 mètres sous le niveau de la mer, la salinité de la Mer Morte est de 27,5 % et son niveau d'eau baisse d'un mètre par an en moyenne. Le dessèchement est tel qu'une large bande de terre craquelée la scinde désormais en deux bassins distincts. La cause essentielle en est la surexploitation croissante du Jourdain à des fin d'irrigation. Une autre cause considérable est l’évaporation de volumes importants d'eau menée par les usines de Dead Sea Works pour la production de produits à base de potassium. Écologie, économie et géostratégie y sont continuellement un peu plus fragilisés. Israël, mai 2011
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  • La Mer Morte, alimentée par le Jourdain, est un lac d'eau salée d'une surface approximative de 810 km2, partagé entre Israël, Jordanie et Territoires Palestiniens occupés. Au point le plus bas du globe à 417 mètres sous le niveau de la mer, la salinité de la Mer Morte est de 27,5 %  et son niveau d'eau baisse d'un mètre par an en moyenne. Le dessèchement est tel qu'une large bande de terre craquelée la scinde désormais en deux bassins distincts. La cause essentielle en est la surexploitation croissante du Jourdain à des fin d'irrigation. Une autre cause considérable est l’évaporation de volumes importants d'eau menée par les usines de Dead Sea Works pour la production de produits à base de potassium. Écologie, économie et géostratégie y sont continuellement un peu plus fragilisés. Israël, mai 2011
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  • La Mer Morte, alimentée par le Jourdain, est un lac d'eau salée d'une surface approximative de 810 km2, partagé entre Israël, Jordanie et Territoires Palestiniens occupés. Au point le plus bas du globe à 417 mètres sous le niveau de la mer, la salinité de la Mer Morte est de 27,5 % et son niveau d'eau baisse d'un mètre par an en moyenne. Le dessèchement est tel qu'une large bande de terre craquelée la scinde désormais en deux bassins distincts. La cause essentielle en est la surexploitation croissante du Jourdain à des fin d'irrigation. Une autre cause considérable est l’évaporation de volumes importants d'eau menée par les usines de Dead Sea Works pour la production de produits à base de potassium. Écologie, économie et géostratégie y sont continuellement un peu plus fragilisés. Israël, mai 2011
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  • La Mer Morte, alimentée par le Jourdain, est un lac d'eau salée d'une surface approximative de 810 km2, partagé entre Israël, Jordanie et Territoires Palestiniens occupés. Au point le plus bas du globe à 417 mètres sous le niveau de la mer, la salinité de la Mer Morte est de 27,5 % et son niveau d'eau baisse d'un mètre par an en moyenne. Le dessèchement est tel qu'une large bande de terre craquelée la scinde désormais en deux bassins distincts. La cause essentielle en est la surexploitation croissante du Jourdain à des fin d'irrigation. Une autre cause considérable est l’évaporation de volumes importants d'eau menée par les usines de Dead Sea Works pour la production de produits à base de potassium. Écologie, économie et géostratégie y sont continuellement un peu plus fragilisés. Israël, mai 2011
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  • La Mer Morte, alimentée par le Jourdain, est un lac d'eau salée d'une surface approximative de 810 km2, partagé entre Israël, Jordanie et Territoires Palestiniens occupés. Au point le plus bas du globe à 417 mètres sous le niveau de la mer, la salinité de la Mer Morte est de 27,5 % et son niveau d'eau baisse d'un mètre par an en moyenne. Le dessèchement est tel qu'une large bande de terre craquelée la scinde désormais en deux bassins distincts. La cause essentielle en est la surexploitation croissante du Jourdain à des fin d'irrigation. Une autre cause considérable est l’évaporation de volumes importants d'eau menée par les usines de Dead Sea Works pour la production de produits à base de potassium. Écologie, économie et géostratégie y sont continuellement un peu plus fragilisés. Israël, mai 2011
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  • La Mer Morte, alimentée par le Jourdain, est un lac d'eau salée d'une surface approximative de 810 km2, partagé entre Israël, Jordanie et Territoires Palestiniens occupés. Au point le plus bas du globe à 417 mètres sous le niveau de la mer, la salinité de la Mer Morte est de 27,5 %  et son niveau d'eau baisse d'un mètre par an en moyenne. Le dessèchement est tel qu'une large bande de terre craquelée la scinde désormais en deux bassins distincts. La cause essentielle en est la surexploitation croissante du Jourdain à des fin d'irrigation. Une autre cause considérable est l’évaporation de volumes importants d'eau menée par les usines de Dead Sea Works pour la production de produits à base de potassium. Écologie, économie et géostratégie y sont continuellement un peu plus fragilisés. Israël, mai 2011
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  • La Mer Morte, alimentée par le Jourdain, est un lac d'eau salée d'une surface approximative de 810 km2, partagé entre Israël, Jordanie et Territoires Palestiniens occupés. Au point le plus bas du globe à 417 mètres sous le niveau de la mer, la salinité de la Mer Morte est de 27,5 % et son niveau d'eau baisse d'un mètre par an en moyenne. Le dessèchement est tel qu'une large bande de terre craquelée la scinde désormais en deux bassins distincts. La cause essentielle en est la surexploitation croissante du Jourdain à des fin d'irrigation. Une autre cause considérable est l’évaporation de volumes importants d'eau menée par les usines de Dead Sea Works pour la production de produits à base de potassium. Écologie, économie et géostratégie y sont continuellement un peu plus fragilisés. Israël, mai 2011
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  • La Mer Morte, alimentée par le Jourdain, est un lac d'eau salée d'une surface approximative de 810 km2, partagé entre Israël, Jordanie et Territoires Palestiniens occupés. Au point le plus bas du globe à 417 mètres sous le niveau de la mer, la salinité de la Mer Morte est de 27,5 %  et son niveau d'eau baisse d'un mètre par an en moyenne. Le dessèchement est tel qu'une large bande de terre craquelée la scinde désormais en deux bassins distincts. La cause essentielle en est la surexploitation croissante du Jourdain à des fin d'irrigation. Une autre cause considérable est l’évaporation de volumes importants d'eau menée par les usines de Dead Sea Works pour la production de produits à base de potassium. Écologie, économie et géostratégie y sont continuellement un peu plus fragilisés. Israël, mai 2011
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  • La Mer Morte, alimentée par le Jourdain, est un lac d'eau salée d'une surface approximative de 810 km2, partagé entre Israël, Jordanie et Territoires Palestiniens occupés. Au point le plus bas du globe à 417 mètres sous le niveau de la mer, la salinité de la Mer Morte est de 27,5 %  et son niveau d'eau baisse d'un mètre par an en moyenne. Le dessèchement est tel qu'une large bande de terre craquelée la scinde désormais en deux bassins distincts. La cause essentielle en est la surexploitation croissante du Jourdain à des fin d'irrigation. Une autre cause considérable est l’évaporation de volumes importants d'eau menée par les usines de Dead Sea Works pour la production de produits à base de potassium. Écologie, économie et géostratégie y sont continuellement un peu plus fragilisés. Israël, mai 2011
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  • La Mer Morte, alimentée par le Jourdain, est un lac d'eau salée d'une surface approximative de 810 km2, partagé entre Israël, Jordanie et Territoires Palestiniens occupés. Au point le plus bas du globe à 417 mètres sous le niveau de la mer, la salinité de la Mer Morte est de 27,5 %  et son niveau d'eau baisse d'un mètre par an en moyenne. Le dessèchement est tel qu'une large bande de terre craquelée la scinde désormais en deux bassins distincts. La cause essentielle en est la surexploitation croissante du Jourdain à des fin d'irrigation. Une autre cause considérable est l’évaporation de volumes importants d'eau menée par les usines de Dead Sea Works pour la production de produits à base de potassium. Écologie, économie et géostratégie y sont continuellement un peu plus fragilisés. Israël, mai 2011
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  • Le Nil Bleu entre Bahar Dar et Addis Abeba. Éthiopie août 2011.
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  • La ferme Maranatha du Hollandais Gert Van Putten comprend environ 20 000 poulets exploités pour leurs œufs. Ces employées récoltent et préparent du trèfle pour nourrir les poulets, comptent et emballent les oeufs. Cela fait vingt ans que le Hollandais Gert Van Putten a installé sa ferme Genesis en bordure de Debre Zeit, à une heure d'Addis Abeba. Il a plus de 600 employés. Ses activités principales sont l'élevage de bétail et de poulet, la production d’œufs, d'aubergines, de salades, onions, alfalfa, etc. Van Putten possède un super marché et a aidé des centaines d’Éthiopiens à se lancer dans l'élevage de poulets. Debre Zeit août 2011.
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  • Sur les flancs du volcan Wenchi qui culmine à 3280 mètres à 200 km à l'ouest d'Addis Abeba, la forte inclinaison du sol empêche les fermiers de labourer avec une charrue à bœufs. Toutes les terres sont donc travaillées manuellement avec une pioche à trois dents. On compte quatorze rivières qui ruissèlent sur les pentes du volcan depuis le Lac Wenchi formé par de multiples sources au cœur du cratère. Celles-ci apportent une irrigation naturelle aux petits agriculteurs locaux. Par ailleurs, le Lac Wenchi est à l'origine de l'unique source minérale estampillée "made in Ethiopia" et appelée Ambo Water. Éthiopie août 2011.
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  • Ferme Karuturi à Bako, à 300 km à l'ouest d'Addis Abeba. Ram Karuturi, à la tête de la multinationale Karuturi PLC Agriculture Company, loue ici 11 790 hectares à l’État Éthiopien depuis 2008 et ce pour une durée de 49 ans. Leurs tracteurs, des Steiger 450, des John Deer et des Magnum 275 ont été importé et assemblé sur place. Dix-neuf indiens travaillent à la ferme de Bako ainsi qu'une quarantaine de permanents Éthiopiens auxquels s'ajoutent cent cinquante journaliers Éthiopiens. Éthiopie août 2011.
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  • Labour avec charrue et bœufs dans la région d'Ambo. Les agriculteurs locaux regroupés en coopérative se partagent l'ensemble des travaux agricoles. Éthiopie août 2011.
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  • À l'est de Bahar Dar, au pied de la colline de Bezawit, agriculteurs, éleveurs et hippopotames se partagent le Nil. Une centaine de fermes sont réunies là en coopérative, profitent de l'eau du fleuve et du ruissellement naturel et, la proximité de la ville leur permet de vendre leurs produits. Éthiopie août 2011.
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  • Au bord du Lac Tana, la ville de Bahar Dar est la capitale de la région Amhara et compte 200 000 habitants. C'était autrefois un village de chasseurs, puis un centre d'échanges très important pour les caravaniers. Le marché hebdomadaire de Bahar Dar voit affluer tous les fermiers de la région et regorge de céréales, légumes, bestiaux, tissus, miel etc. Comme dans tout le pays, bidons et bouteilles en plastiques vides sont recyclés et revendus pour le transport d'eau et d'essence. Éthiopie août 2011.
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  • Au bord du Lac Tana, la ville de Bahar Dar est la capitale de la région Amhara et compte 200 000 habitants. C'était autrefois un village de chasseurs, puis un centre d'échange très important pour les caravaniers. Le marché hebdomadaire de Bahar Dar voit affluer tous les fermiers de la région et regorge de céréales, légumes, bestiaux, tissus, miel etc. Éthiopie août 2011.
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  • Le parc Martin Luther King est situé dans le prolongement du Parc de Clichy-Batignolles dans le 17e arrondissement de Paris. La paysagiste Jacqueline Osty a imaginé de multiples ambiances, adaptées tantôt à la détente contemplative, tantôt à la promenade ou au sport. L'eau y est omniprésente, déclinée sous différentes formes.
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  • Le parc Martin Luther King est situé dans le prolongement du Parc de Clichy-Batignolles dans le 17e arrondissement de Paris. La paysagiste Jacqueline Osty a imaginé de multiples ambiances, adaptées tantôt à la détente contemplative, tantôt à la promenade ou au sport. L'eau y est omniprésente, déclinée sous différentes formes.
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  • Cela fait vingt ans que le Hollandais Gert Van Putten a installé sa ferme Genesis en bordure de Debre Zeit, à une heure d'Addis Abeba. Il a plus de 600 employés. Ses activités principales sont l'élevage de bétail et de poulet, la production d'oeufs, d'aubergines, de salades, onions, alfalfa, etc. Van Putten possède un super marché et a aidé des centaines d'Ethiopiens à se lancer dans l'élevage de poulets. Debre Zeit août 2011.
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  • La ferme Maranatha du Hollandais Gert Van Putten comprend environ 20 000 poulets exploités pour leurs œufs. Ces employées récoltent et préparent du trèfle pour nourrir les poulets, comptent et emballent les oeufs. Cela fait vingt ans que le Hollandais Gert Van Putten a installé sa ferme Genesis en bordure de Debre Zeit, à une heure d'Addis Abeba. Il a plus de 600 employés. Ses activités principales sont l'élevage de bétail et de poulet, la production d’œufs, d'aubergines, de salades, onions, alfalfa, etc. Van Putten possède un super marché et a aidé des centaines d’Éthiopiens à se lancer dans l'élevage de poulets. Debre Zeit août 2011.
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  • La ferme Maranatha du Hollandais Gert Van Putten comprend environ 20 000 poulets exploités pour leurs œufs. Ces employées récoltent et préparent du trèfle pour nourrir les poulets, comptent et emballent les oeufs. Cela fait vingt ans que le Hollandais Gert Van Putten a installé sa ferme Genesis en bordure de Debre Zeit, à une heure d'Addis Abeba. Il a plus de 600 employés. Ses activités principales sont l'élevage de bétail et de poulet, la production d’œufs, d'aubergines, de salades, onions, alfalfa, etc. Van Putten possède un super marché et a aidé des centaines d’Éthiopiens à se lancer dans l'élevage de poulets. Debre Zeit août 2011.
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  • La ferme Maranatha du Hollandais Gert Van Putten comprend environ 20 000 poulets exploités pour leurs œufs. Ces employées récoltent et préparent du trèfle pour nourrir les poulets, comptent et emballent les oeufs. Cela fait vingt ans que le Hollandais Gert Van Putten a installé sa ferme Genesis en bordure de Debre Zeit, à une heure d'Addis Abeba. Il a plus de 600 employés. Ses activités principales sont l'élevage de bétail et de poulet, la production d’œufs, d'aubergines, de salades, onions, alfalfa, etc. Van Putten possède un super marché et a aidé des centaines d’Éthiopiens à se lancer dans l'élevage de poulets. Debre Zeit août 2011.
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  • Ferme Karuturi à Bako, à 300 km à l'ouest d'Addis Abeba. Ram Karuturi, à la tête de la multinationale Karuturi PLC Agriculture Company, loue ici 11 790 hectares à l’État Éthiopien depuis 2008 et ce pour une durée de 49 ans. Leurs tracteurs, des Steiger 450, des John Deer et des Magnum 275 ont été importé et assemblé sur place. Dix-neuf indiens travaillent à la ferme de Bako ainsi qu'une quarantaine de permanents Éthiopiens auxquels s'ajoutent cent cinquante journaliers Éthiopiens. Éthiopie août 2011.
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  • Au bord du Lac Tana, la ville de Bahar Dar est la capitale de la région Amhara et compte 200 000 habitants. C’était autrefois un village de chasseurs, puis un centre d’échange très important pour les caravaniers. Le marché hebdomadaire de Bahar Dar voit affluer tous les fermiers de la région et regorge de céréales, légumes, bestiaux, tissus, miel etc. Éthiopie août 2011.
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  • Au bord du Lac Tana, la ville de Bahar Dar est la capitale de la région Amhara et compte 200 000 habitants. C’était autrefois un village de chasseurs, puis un centre d’échange très important pour les caravaniers. Le marché hebdomadaire de Bahar Dar voit affluer tous les fermiers de la région et regorge de céréales, légumes, bestiaux, tissus, miel etc. Éthiopie août 2011.
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  • Au bord du Lac Tana, la ville de Bahar Dar est la capitale de la région Amhara et compte 200 000 habitants. C’était autrefois un village de chasseurs, puis un centre d’échange très important pour les caravaniers. Le marché hebdomadaire de Bahar Dar voit affluer tous les fermiers de la région et regorge de céréales, légumes, bestiaux, tissus, miel etc. Éthiopie août 2011.
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  • À l'est de Bahar Dar, au pied de la colline de Bezawit, agriculteurs, éleveurs et hippopotames se partagent le Nil. Une centaine de fermes sont réunies là en coopérative, profitent de l'eau du fleuve et du ruissellement naturel et, la proximité de la ville leur permet de vendre leurs produits. Éthiopie août 2011.
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  • Pendant la saison des pluies, les terres qui bordent le Lac Tana sont inondées. Avec l'aide des Nord-Coréens, le ministère de l'agriculture introduit la culture du riz en 1978 afin de profiter astucieusement de cet excédent d'eau et de tenter de remédier au dépeuplement de la région. Ces zones désertées commencent petit à petit à se repeupler. On compte aujourd'hui des centaines d'hectares de rizières. À l'est du Lac Tana, Wereta est un "nouveau village" de cultivateurs nommé par la variété de riz qui a relancé l'économie locale. Éthiopie août 2011.
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  • Cela fait vingt ans que le Hollandais Gert Van Putten a installé sa ferme Genesis en bordure de Debre Zeit, à une heure d'Addis Abeba. Il a plus de 600 employés. Ses activités principales sont l'élevage de bétail et de poulet, la production d'oeufs, d'aubergines, de salades, onions, alfalfa, etc. Van Putten possède un super marché et a aidé des centaines d'Ethiopiens à se lancer dans l'élevage de poulets. Debre Zeit août 2011.
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  • La ferme Maranatha du Hollandais Gert Van Putten comprend environ 20 000 poulets exploités pour leurs œufs. Ces employées récoltent et préparent du trèfle pour nourrir les poulets, comptent et emballent les oeufs. Cela fait vingt ans que le Hollandais Gert Van Putten a installé sa ferme Genesis en bordure de Debre Zeit, à une heure d'Addis Abeba. Il a plus de 600 employés. Ses activités principales sont l'élevage de bétail et de poulet, la production d’œufs, d'aubergines, de salades, onions, alfalfa, etc. Van Putten possède un super marché et a aidé des centaines d’Éthiopiens à se lancer dans l'élevage de poulets. Debre Zeit août 2011.
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  • Cela fait vingt ans que le Hollandais Gert Van Putten a installé sa ferme Genesis en bordure de Debre Zeit, à une heure d'Addis Abeba. Il a plus de 600 employés. Ses activités principales sont l'élevage de bétail et de poulet, la production d’œufs, d'aubergines, de salades, onions, alfalfa, etc. Van Putten possède un super marché et a aidé des centaines d’Éthiopiens à se lancer dans l'élevage de poulets. Debre Zeit août 2011.
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  • La ferme Maranatha du Hollandais Gert Van Putten comprend environ 20 000 poulets exploités pour leurs œufs. Ces employées récoltent et préparent du trèfle pour nourrir les poulets, comptent et emballent les oeufs. Cela fait vingt ans que le Hollandais Gert Van Putten a installé sa ferme Genesis en bordure de Debre Zeit, à une heure d'Addis Abeba. Il a plus de 600 employés. Ses activités principales sont l'élevage de bétail et de poulet, la production d’œufs, d'aubergines, de salades, onions, alfalfa, etc. Van Putten possède un super marché et a aidé des centaines d’Éthiopiens à se lancer dans l'élevage de poulets. Debre Zeit août 2011.
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  • La ferme Maranatha du Hollandais Gert Van Putten comprend environ 20 000 poulets exploités pour leurs œufs. Ces employées récoltent et préparent du trèfle pour nourrir les poulets, comptent et emballent les oeufs. Cela fait vingt ans que le Hollandais Gert Van Putten a installé sa ferme Genesis en bordure de Debre Zeit, à une heure d'Addis Abeba. Il a plus de 600 employés. Ses activités principales sont l'élevage de bétail et de poulet, la production d’œufs, d'aubergines, de salades, onions, alfalfa, etc. Van Putten possède un super marché et a aidé des centaines d’Éthiopiens à se lancer dans l'élevage de poulets. Debre Zeit août 2011.
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  • La ferme Maranatha du Hollandais Gert Van Putten comprend environ 20 000 poulets exploités pour leurs œufs. Ces employées récoltent et préparent du trèfle pour nourrir les poulets, comptent et emballent les oeufs. Cela fait vingt ans que le Hollandais Gert Van Putten a installé sa ferme Genesis en bordure de Debre Zeit, à une heure d'Addis Abeba. Il a plus de 600 employés. Ses activités principales sont l'élevage de bétail et de poulet, la production d’œufs, d'aubergines, de salades, onions, alfalfa, etc. Van Putten possède un super marché et a aidé des centaines d’Éthiopiens à se lancer dans l'élevage de poulets. Debre Zeit août 2011.
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  • La ferme Maranatha du Hollandais Gert Van Putten comprend environ 20 000 poulets exploités pour leurs œufs. Ces employées récoltent et préparent du trèfle pour nourrir les poulets, comptent et emballent les oeufs. Cela fait vingt ans que le Hollandais Gert Van Putten a installé sa ferme Genesis en bordure de Debre Zeit, à une heure d'Addis Abeba. Il a plus de 600 employés. Ses activités principales sont l'élevage de bétail et de poulet, la production d’œufs, d'aubergines, de salades, onions, alfalfa, etc. Van Putten possède un super marché et a aidé des centaines d’Éthiopiens à se lancer dans l'élevage de poulets. Debre Zeit août 2011.
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  • Ferme Karuturi à Bako, à 300 km à l'ouest d'Addis Abeba. Ram Karuturi, à la tête de la multinationale Karuturi PLC Agriculture Company, loue ici 11 790 hectares à l’État Éthiopien depuis 2008 et ce pour une durée de 49 ans. Leurs tracteurs, des Steiger 450, des John Deer et des Magnum 275 ont été importé et assemblé sur place. Dix-neuf indiens travaillent à la ferme de Bako ainsi qu'une quarantaine de permanents Éthiopiens auxquels s'ajoutent cent cinquante journaliers Éthiopiens. Éthiopie août 2011.
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  • Sur les flancs du volcan Wenchi qui culmine à 3280 mètres à 200 km à l'ouest d'Addis Abeba, la forte inclinaison du sol empêche les fermiers de labourer avec une charrue à bœufs. Toutes les terres sont donc travaillées manuellement avec une pioche à trois dents. On compte quatorze rivières qui ruissèlent sur les pentes du volcan depuis le Lac Wenchi formé par de multiples sources au cœur du cratère. Celles-ci apportent une irrigation naturelle aux petits agriculteurs locaux. Par ailleurs, le Lac Wenchi est à l'origine de l'unique source minérale estampillée "made in Ethiopia" et appelée Ambo Water. Éthiopie août 2011.
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  • Labour avec charrue et bœufs dans la région d'Ambo. Les agriculteurs locaux regroupés en coopérative se partagent l'ensemble des travaux agricoles. Éthiopie août 2011.
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  • Au bord du Lac Tana, la ville de Bahar Dar est la capitale de la région Amhara et compte 200 000 habitants. C’était autrefois un village de chasseurs, puis un centre d’échange très important pour les caravaniers. Le marché hebdomadaire de Bahar Dar voit affluer tous les fermiers de la région et regorge de céréales, légumes, bestiaux, tissus, miel etc. Éthiopie août 2011.
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  • La coopérative de Quhar, dans la région Amhara, est le point de vente des semences et engrais et lieu de préparation des récoltes destinées au marché national. Une source d'eau est également à disposition. Éthiopie août 2011.
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  • La coopérative de Quhar, dans la région Amhara, est le point de vente des semences et engrais et lieu de préparation des récoltes destinées au marché national. Une source d'eau est également à disposition. Éthiopie août 2011.
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  • La coopérative de Quhar, dans la région Amhara, est le point de vente des semences et engrais et lieu de préparation des récoltes destinées au marché national. Une source d'eau est également à disposition. Éthiopie août 2011.
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  • Pendant la saison des pluies, les terres qui bordent le Lac Tana sont inondées. Avec l'aide des Nord-coréens, le ministère de l'agriculture introduit la culture du riz en 1978 afin de profiter astucieusement de cet excédent d'eau et de tenter de remédier au dépeuplement de la région. Ces zones désertées commencent petit à petit à se repeupler. On compte aujourd'hui des centaines d'hectares de rizières. À l'est du Lac Tana, Wereta est un "nouveau village" de cultivateurs nommé par la variété de riz qui a relancé l’économie locale. »Éthiopie août 2011.
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  • Pendant la saison des pluies, les terres qui bordent le Lac Tana sont inondées. Avec l'aide des Nord-coréens, le ministère de l'agriculture introduit la culture du riz en 1978 afin de profiter astucieusement de cet excédent d'eau et de tenter de remédier au dépeuplement de la région. Ces zones désertées commencent petit à petit à se repeupler. On compte aujourd'hui des centaines d'hectares de rizières. À l'est du Lac Tana, Wereta est un "nouveau village" de cultivateurs nommé par la variété de riz qui a relancé l’économie locale. »Éthiopie août 2011.
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  • Pendant la saison des pluies, les terres qui bordent le Lac Tana sont inondées. Avec l'aide des Nord-coréens, le ministère de l'agriculture introduit la culture du riz en 1978 afin de profiter astucieusement de cet excédent d'eau et de tenter de remédier au dépeuplement de la région. Ces zones désertées commencent petit à petit à se repeupler. On compte aujourd'hui des centaines d'hectares de rizières. À l'est du Lac Tana, Wereta est un "nouveau village" de cultivateurs nommé par la variété de riz qui a relancé l’économie locale. »Éthiopie août 2011.
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  • Pendant la saison des pluies, les terres qui bordent le Lac Tana sont inondées. Avec l'aide des Nord-coréens, le ministère de l'agriculture introduit la culture du riz en 1978 afin de profiter astucieusement de cet excédent d'eau et de tenter de remédier au dépeuplement de la région. Ces zones désertées commencent petit à petit à se repeupler. On compte aujourd'hui des centaines d'hectares de rizières. À l'est du Lac Tana, Wereta est un "nouveau village" de cultivateurs nommé par la variété de riz qui a relancé l’économie locale. »Éthiopie août 2011.
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  • Pendant la saison des pluies, les terres qui bordent le Lac Tana sont inondées. Avec l'aide des Nord-coréens, le ministère de l'agriculture introduit la culture du riz en 1978 afin de profiter astucieusement de cet excédent d'eau et de tenter de remédier au dépeuplement de la région. Ces zones désertées commencent petit à petit à se repeupler. On compte aujourd'hui des centaines d'hectares de rizières. À l'est du Lac Tana, Wereta est un "nouveau village" de cultivateurs nommé par la variété de riz qui a relancé l’économie locale. »Éthiopie août 2011.
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  • À l'est de Bahar Dar, au pied de la colline de Bezawit, agriculteurs, éleveurs et hippopotames se partagent le Nil. Une centaine de fermes sont réunies là en coopérative, profitent de l'eau du fleuve et du ruissellement naturel et, la proximité de la ville leur permet de vendre leurs produits. Éthiopie août 2011.
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  • À l'est de Bahar Dar, au pied de la colline de Bezawit, agriculteurs, éleveurs et hippopotames se partagent le Nil. Une centaine de fermes sont réunies là en coopérative, profitent de l'eau du fleuve et du ruissellement naturel et, la proximité de la ville leur permet de vendre leurs produits. Éthiopie août 2011.
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  • Le Lac Tana est le plus grand lac d'Éthiopie : 3630 km2, environ 70 km de large et 80 km de long. Son niveau a régressé de 1,8 mètre en 400 ans. L'un de ses affluents, le Gilgel Abbay, est considéré comme étant la source du Nil Bleu. Le lac Tana est le réservoir du Nil Bleu. On y dénombre une trentaine d'îles dont 19 accueillent un ou plusieurs monastères décores de tentures peintes et de trésors datant des 14éme et 15éme siècles. Les pêcheurs qui vivent sur les îles du Lac Tana naviguent dans des tankawa ou pirogues en papyrus qu'ils abandonnent après une quinzaine de jours pour en construire une nouvelle. Éthiopie, août 2011.
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  • À 35km au sud du Lac Tana, les chutes du Nil Bleu ou "Tessessat" qui signifie "l'eau qui fume" en Amharique sont hautes de 50 mètres. Louées au 18éme siècle pour leur beauté par l'explorateur Écossais James Bruce et longtemps considérées comme les plus belles du continent, voir du monde, les chutes du Nil ont aujourd'hui perdu de leur superbe. En effet une grande partie des eaux est détournée au profit du barrage Italien, laissant les chutes aux trois quart nues. Éthiopie août 2011.
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  • Le barrage Italien, construit dans les années 1930, est la première infrastructure mise en place pour l'exploitation du Nil Bleu. Son activité est aujourd'hui réduite. Le barrage est obsolète face aux nouveaux projets beaucoup plus modernes. Éthiopie août 2011.
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  • Le parc Martin Luther King est situé dans le prolongement du Parc de Clichy-Batignolles dans le 17e arrondissement de Paris. La paysagiste Jacqueline Osty a imaginé de multiples ambiances, adaptées tantôt à la détente contemplative, tantôt à la promenade ou au sport. L'eau y est omniprésente, déclinée sous différentes formes.
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  • Le parc Martin Luther King est situé dans le prolongement du Parc de Clichy-Batignolles dans le 17e arrondissement de Paris. La paysagiste Jacqueline Osty a imaginé de multiples ambiances, adaptées tantôt à la détente contemplative, tantôt à la promenade ou au sport. L'eau y est omniprésente, déclinée sous différentes formes.
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  • Pendant la saison des pluies, les terres qui bordent le Lac Tana sont inondées. Avec l'aide des Nord-coréens, le ministère de l'agriculture introduit la culture du riz en 1978 afin de profiter astucieusement de cet excèdent d'eau et de tenter de remédier au dépeuplement de la région. Ces zones désertées commencent petit à petit à se repeupler. On compte aujourd'hui des centaines d'hectares de rizières. À l'est du Lac Tana, Wereta est un "nouveau village" de cultivateurs nommé par la variété de riz qui a relancé l'économie locale. Éthiopie août 2011.
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  • Comptage et préparation des produits à la ferme Genesis du Hollandais Gert Van Putten. Cela fait vingt ans que ce Hollandais a installé sa ferme Genesis en bordure de Debre Zeit, à une heure d'Addis Abeba. Il a plus de 600 employés. Ses activités principales sont l'élevage de bétail et de poulet, la production d'oeufs, d'aubergines, de salades, onions, alfalfa, etc. Van Putten possède un super marché et a aidé des centaines d'Ethiopiens à se lancer dans l'élevage de poulets. Debre Zeit août 2011.
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  • Comptage et préparation des produits à la ferme Genesis du Hollandais Gert Van Putten. Cela fait vingt ans que ce Hollandais a installé sa ferme Genesis en bordure de Debre Zeit, à une heure d'Addis Abeba. Il a plus de 600 employés. Ses activités principales sont l'élevage de bétail et de poulet, la production d'oeufs, d'aubergines, de salades, onions, alfalfa, etc. Van Putten possède un super marché et a aidé des centaines d'Ethiopiens à se lancer dans l'élevage de poulets. Debre Zeit août 2011.
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  • Comptage et préparation des produits à la ferme Genesis du Hollandais Gert Van Putten. Cela fait vingt ans que ce Hollandais a installé sa ferme Genesis en bordure de Debre Zeit, à une heure d'Addis Abeba. Il a plus de 600 employés. Ses activités principales sont l'élevage de bétail et de poulet, la production d'oeufs, d'aubergines, de salades, onions, alfalfa, etc. Van Putten possède un super marché et a aidé des centaines d'Ethiopiens à se lancer dans l'élevage de poulets. Debre Zeit août 2011.
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  • Cela fait vingt ans que le Hollandais Gert Van Putten a installé sa ferme Genesis en bordure de Debre Zeit, à une heure d'Addis Abeba. Il a plus de 600 employés. Ses activités principales sont l'élevage de bétail et de poulet, la production d’œufs, d'aubergines, de salades, onions, alfalfa, etc. Van Putten possède un super marché et a aidé des centaines d’Éthiopiens à se lancer dans l'élevage de poulets. Debre Zeit août 2011.
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  • Cela fait vingt ans que le Hollandais Gert Van Putten a installé sa ferme Genesis en bordure de Debre Zeit, à une heure d'Addis Abeba. Il a plus de 600 employés. Ses activités principales sont l'élevage de bétail et de poulet, la production d’œufs, d'aubergines, de salades, onions, alfalfa, etc. Van Putten possède un super marché et a aidé des centaines d’Éthiopiens à se lancer dans l'élevage de poulets. Debre Zeit août 2011.
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  • La ferme Maranatha du Hollandais Gert Van Putten comprend environ 20 000 poulets exploités pour leurs œufs. Ces employées récoltent et préparent du trèfle pour nourrir les poulets, comptent et emballent les oeufs. Cela fait vingt ans que le Hollandais Gert Van Putten a installé sa ferme Genesis en bordure de Debre Zeit, à une heure d'Addis Abeba. Il a plus de 600 employés. Ses activités principales sont l'élevage de bétail et de poulet, la production d’œufs, d'aubergines, de salades, onions, alfalfa, etc. Van Putten possède un super marché et a aidé des centaines d’Éthiopiens à se lancer dans l'élevage de poulets. Debre Zeit août 2011.
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  • La ferme Maranatha du Hollandais Gert Van Putten comprend environ 20 000 poulets exploités pour leurs œufs. Ces employées récoltent et préparent du trèfle pour nourrir les poulets, comptent et emballent les oeufs. Cela fait vingt ans que le Hollandais Gert Van Putten a installé sa ferme Genesis en bordure de Debre Zeit, à une heure d'Addis Abeba. Il a plus de 600 employés. Ses activités principales sont l'élevage de bétail et de poulet, la production d’œufs, d'aubergines, de salades, onions, alfalfa, etc. Van Putten possède un super marché et a aidé des centaines d’Éthiopiens à se lancer dans l'élevage de poulets. Debre Zeit août 2011.
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  • La ferme Maranatha du Hollandais Gert Van Putten comprend environ 20 000 poulets exploités pour leurs œufs. Ces employées récoltent et préparent du trèfle pour nourrir les poulets, comptent et emballent les oeufs. Cela fait vingt ans que le Hollandais Gert Van Putten a installé sa ferme Genesis en bordure de Debre Zeit, à une heure d'Addis Abeba. Il a plus de 600 employés. Ses activités principales sont l'élevage de bétail et de poulet, la production d’œufs, d'aubergines, de salades, onions, alfalfa, etc. Van Putten possède un super marché et a aidé des centaines d’Éthiopiens à se lancer dans l'élevage de poulets. Debre Zeit août 2011.
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  • La ferme Maranatha du Hollandais Gert Van Putten comprend environ 20 000 poulets exploités pour leurs œufs. Ces employées récoltent et préparent du trèfle pour nourrir les poulets, comptent et emballent les oeufs. Cela fait vingt ans que le Hollandais Gert Van Putten a installé sa ferme Genesis en bordure de Debre Zeit, à une heure d'Addis Abeba. Il a plus de 600 employés. Ses activités principales sont l'élevage de bétail et de poulet, la production d’œufs, d'aubergines, de salades, onions, alfalfa, etc. Van Putten possède un super marché et a aidé des centaines d’Éthiopiens à se lancer dans l'élevage de poulets. Debre Zeit août 2011.
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  • Ferme Karuturi à Bako, à 300 km à l'ouest d'Addis Abeba. Ram Karuturi, à la tête de la multinationale Karuturi PLC Agriculture Company, loue ici 11 790 hectares à l’État Éthiopien depuis 2008 et ce pour une durée de 49 ans. Leurs tracteurs, des Steiger 450, des John Deer et des Magnum 275 ont été importé et assemblé sur place. Dix-neuf indiens travaillent à la ferme de Bako ainsi qu'une quarantaine de permanents Éthiopiens auxquels s'ajoutent cent cinquante journaliers Éthiopiens. Éthiopie août 2011. Vinay Shekar (photo), originaire du sud de l'Inde, est le manager de la ferme de Bako. Il est exaspéré du retard de leur production de riz et des tensions avec les éleveurs Éthiopiens qui continuent de faire paître leur bétail sur les terres que Karuturi loue au gouvernement. Éthiopie août 2011.
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  • Gebregiorgis Abebe, expert au Bureau Gouvernemental d'Agriculture de la région Amhara, discute avec un fermier à la coopérative de Quhar, point de vente des semences et engrais et lieu de préparation des récoltes destinées au marché national. Éthiopie août 2011.
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  • À l'est de Bahar Dar, au pied de la colline de Bezawit, agriculteurs, éleveurs et hippopotames se partagent le Nil. Une centaine de fermes sont réunies là en coopérative, profitent de l'eau du fleuve et du ruissellement naturel et, la proximité de la ville leur permet de vendre leurs produits. Éthiopie août 2011.
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  • À l'est de Bahar Dar, au pied de la colline de Bezawit, agriculteurs, éleveurs et hippopotames se partagent le Nil. Une centaine de fermes sont réunies là en coopérative, profitent de l'eau du fleuve et du ruissellement naturel et, la proximité de la ville leur permet de vendre leurs produits. Éthiopie août 2011.
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  • À l'est de Bahar Dar, au pied de la colline de Bezawit, agriculteurs, éleveurs et hippopotames se partagent le Nil. Une centaine de fermes sont réunies là en coopérative, profitent de l'eau du fleuve et du ruissellement naturel et, la proximité de la ville leur permet de vendre leurs produits. Éthiopie août 2011.
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  • Sur les flancs du volcan Wenchi qui culmine à 3280 mètres à 200 km à l'ouest d'Addis Abeba, la forte inclinaison du sol empêche les fermiers de labourer avec une charrue à bœufs. Toutes les terres sont donc travaillées manuellement avec une pioche à trois dents. On compte quatorze rivières qui ruissèlent sur les pentes du volcan depuis le Lac Wenchi formé par de multiples sources au cœur du cratère. Celles-ci apportent une irrigation naturelle aux petits agriculteurs locaux. Par ailleurs, le Lac Wenchi est à l'origine de l'unique source minérale estampillée "made in Ethiopia" et appelée Ambo Water. Éthiopie août 2011.
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  • Au bord du Lac Tana, la ville de Bahar Dar est la capitale de la région Amhara et compte 200 000 habitants. C'était autrefois un village de chasseurs, puis un centre d'Échange très important pour les caravaniers. Pendant la saison des pluies, certains quartiers de la ville, dont le marche, sont submergés. La municipalité a lancé un projet de canaux qui font office d'Égout redirigé ensuite vers le Nil. Sur la gauche, le réservoir qui alimente le quartier en eau potable. Éthiopie août 2011.
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  • Gebregiorgis Abebe, expert au Bureau Gouvernemental d'Agriculture de la région Amhara, discute avec un fermier à la coopérative de Quhar, point de vente des semences et engrais et lieu de préparation des récoltes destinées au marché national. Éthiopie août 2011.
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  • Le Nil Bleu s'écoule du Lac Tana devant les sculptures du Ethiopian Civil War Memorial construit en 2010 sur sa rive est, face aux constructions intensives menées par les chinois sur sa rive ouest. Pendant la saison des pluies, les tonnes de boue charriées par le fleuve lui donnent une couleur orange. Le nom du fleuve provient de sa couleur foncée, due à sa forte teneur en limon, par opposition avec celle du Nil Blanc, plus claire. De là le fleuve coule sur 5200 km jusqu'à la Mer Méditerranée. Les éthiopiens le nomment Nil Abay, il rejoint le Nil Blanc à Khartoum, capitale du Soudan. Bahar Dar, Éthiopie août 2011.
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  • À l'est de Bahar Dar, au pied de la colline de Bezawit, agriculteurs, éleveurs et hippopotames se partagent le Nil. Une centaine de fermes sont réunies là en coopérative, profitent de l'eau du fleuve et du ruissellement naturel et, la proximité de la ville leur permet de vendre leurs produits. Éthiopie août 2011.
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