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  • Avec Ça ira (1) Fin de Louis, présenté à Nanterre-Amandiers, l’auteur-metteur en scène Joël Pommerat donne à voir la politique et le théâtre en train de se faire. Un théâtre profondément démocratique, intelligible à tous, qui plonge le spectateur dans le bouillonnement idéologique révolutionnaire et réinterroge les nécessités de l’engagement politique. Le spectacle s’inspire des grandes lignes de l’histoire révolutionnaire, depuis la crise financière qui conduit à la convocation des États généraux par Louis XVI jusqu’aux débuts de la contre révolution en 1790-91. L’équipe de création a beaucoup travaillé et improvisé à partir de textes d’archives, avec l’appui de la dramaturge Marion Boudier et de l’historien Guillaume Mazeau. Rompant radicalement avec le mythe d’une histoire des héros, Joël Pommerat donne au passé la force du présent en s’intéressant au processus collectif révolutionnaire, à la multiplicité de ses acteurs et à son caractère improvisé. Transformant le plateau de Nanterre-Amandiers en agora, les quatorze acteurs qui endossent plusieurs rôles, proposent une histoire à hauteur d’homme et mettent la parole au centre de l’action théâtrale. Un spectacle qu’on peut voir et revoir sans jamais en épuiser la très riche matière artistique et politique.
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  • Avec Ça ira (1) Fin de Louis, présenté à Nanterre-Amandiers, l’auteur-metteur en scène Joël Pommerat donne à voir la politique et le théâtre en train de se faire. Un théâtre profondément démocratique, intelligible à tous, qui plonge le spectateur dans le bouillonnement idéologique révolutionnaire et réinterroge les nécessités de l’engagement politique. Le spectacle s’inspire des grandes lignes de l’histoire révolutionnaire, depuis la crise financière qui conduit à la convocation des États généraux par Louis XVI jusqu’aux débuts de la contre révolution en 1790-91. L’équipe de création a beaucoup travaillé et improvisé à partir de textes d’archives, avec l’appui de la dramaturge Marion Boudier et de l’historien Guillaume Mazeau. Rompant radicalement avec le mythe d’une histoire des héros, Joël Pommerat donne au passé la force du présent en s’intéressant au processus collectif révolutionnaire, à la multiplicité de ses acteurs et à son caractère improvisé. Transformant le plateau de Nanterre-Amandiers en agora, les quatorze acteurs qui endossent plusieurs rôles, proposent une histoire à hauteur d’homme et mettent la parole au centre de l’action théâtrale. Un spectacle qu’on peut voir et revoir sans jamais en épuiser la très riche matière artistique et politique.
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  • Avec Ça ira (1) Fin de Louis, présenté à Nanterre-Amandiers, l’auteur-metteur en scène Joël Pommerat donne à voir la politique et le théâtre en train de se faire. Un théâtre profondément démocratique, intelligible à tous, qui plonge le spectateur dans le bouillonnement idéologique révolutionnaire et réinterroge les nécessités de l’engagement politique. Le spectacle s’inspire des grandes lignes de l’histoire révolutionnaire, depuis la crise financière qui conduit à la convocation des États généraux par Louis XVI jusqu’aux débuts de la contre révolution en 1790-91. L’équipe de création a beaucoup travaillé et improvisé à partir de textes d’archives, avec l’appui de la dramaturge Marion Boudier et de l’historien Guillaume Mazeau. Rompant radicalement avec le mythe d’une histoire des héros, Joël Pommerat donne au passé la force du présent en s’intéressant au processus collectif révolutionnaire, à la multiplicité de ses acteurs et à son caractère improvisé. Transformant le plateau de Nanterre-Amandiers en agora, les quatorze acteurs qui endossent plusieurs rôles, proposent une histoire à hauteur d’homme et mettent la parole au centre de l’action théâtrale. Un spectacle qu’on peut voir et revoir sans jamais en épuiser la très riche matière artistique et politique.
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  • Rencontre débat sur le trajet d’un Marx penseur de formes inédites de la politique avec, Isabelle Garo, philosophe et, Stathis Kouvélakis, professeur de philosophie politique.
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  • Rencontre débat sur le trajet d’un Marx penseur de formes inédites de la politique avec, Isabelle Garo, philosophe et, Stathis Kouvélakis, professeur de philosophie politique.
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  • Rencontre débat sur le trajet d’un Marx penseur de formes inédites de la politique avec, Isabelle Garo, philosophe et, Stathis Kouvélakis, professeur de philosophie politique.
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  • Avec Ça ira (1) Fin de Louis, présenté à Nanterre-Amandiers, l’auteur-metteur en scène Joël Pommerat donne à voir la politique et le théâtre en train de se faire. Un théâtre profondément démocratique, intelligible à tous, qui plonge le spectateur dans le bouillonnement idéologique révolutionnaire et réinterroge les nécessités de l’engagement politique. Le spectacle s’inspire des grandes lignes de l’histoire révolutionnaire, depuis la crise financière qui conduit à la convocation des États généraux par Louis XVI jusqu’aux débuts de la contre révolution en 1790-91. L’équipe de création a beaucoup travaillé et improvisé à partir de textes d’archives, avec l’appui de la dramaturge Marion Boudier et de l’historien Guillaume Mazeau. Rompant radicalement avec le mythe d’une histoire des héros, Joël Pommerat donne au passé la force du présent en s’intéressant au processus collectif révolutionnaire, à la multiplicité de ses acteurs et à son caractère improvisé. Transformant le plateau de Nanterre-Amandiers en agora, les quatorze acteurs qui endossent plusieurs rôles, proposent une histoire à hauteur d’homme et mettent la parole au centre de l’action théâtrale. Un spectacle qu’on peut voir et revoir sans jamais en épuiser la très riche matière artistique et politique.
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  • Avec Ça ira (1) Fin de Louis, présenté à Nanterre-Amandiers, l’auteur-metteur en scène Joël Pommerat donne à voir la politique et le théâtre en train de se faire. Un théâtre profondément démocratique, intelligible à tous, qui plonge le spectateur dans le bouillonnement idéologique révolutionnaire et réinterroge les nécessités de l’engagement politique. Le spectacle s’inspire des grandes lignes de l’histoire révolutionnaire, depuis la crise financière qui conduit à la convocation des États généraux par Louis XVI jusqu’aux débuts de la contre révolution en 1790-91. L’équipe de création a beaucoup travaillé et improvisé à partir de textes d’archives, avec l’appui de la dramaturge Marion Boudier et de l’historien Guillaume Mazeau. Rompant radicalement avec le mythe d’une histoire des héros, Joël Pommerat donne au passé la force du présent en s’intéressant au processus collectif révolutionnaire, à la multiplicité de ses acteurs et à son caractère improvisé. Transformant le plateau de Nanterre-Amandiers en agora, les quatorze acteurs qui endossent plusieurs rôles, proposent une histoire à hauteur d’homme et mettent la parole au centre de l’action théâtrale. Un spectacle qu’on peut voir et revoir sans jamais en épuiser la très riche matière artistique et politique.
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  • Avec Ça ira (1) Fin de Louis, présenté à Nanterre-Amandiers, l’auteur-metteur en scène Joël Pommerat donne à voir la politique et le théâtre en train de se faire. Un théâtre profondément démocratique, intelligible à tous, qui plonge le spectateur dans le bouillonnement idéologique révolutionnaire et réinterroge les nécessités de l’engagement politique. Le spectacle s’inspire des grandes lignes de l’histoire révolutionnaire, depuis la crise financière qui conduit à la convocation des États généraux par Louis XVI jusqu’aux débuts de la contre révolution en 1790-91. L’équipe de création a beaucoup travaillé et improvisé à partir de textes d’archives, avec l’appui de la dramaturge Marion Boudier et de l’historien Guillaume Mazeau. Rompant radicalement avec le mythe d’une histoire des héros, Joël Pommerat donne au passé la force du présent en s’intéressant au processus collectif révolutionnaire, à la multiplicité de ses acteurs et à son caractère improvisé. Transformant le plateau de Nanterre-Amandiers en agora, les quatorze acteurs qui endossent plusieurs rôles, proposent une histoire à hauteur d’homme et mettent la parole au centre de l’action théâtrale. Un spectacle qu’on peut voir et revoir sans jamais en épuiser la très riche matière artistique et politique.
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  • Avec Ça ira (1) Fin de Louis, présenté à Nanterre-Amandiers, l’auteur-metteur en scène Joël Pommerat donne à voir la politique et le théâtre en train de se faire. Un théâtre profondément démocratique, intelligible à tous, qui plonge le spectateur dans le bouillonnement idéologique révolutionnaire et réinterroge les nécessités de l’engagement politique. Le spectacle s’inspire des grandes lignes de l’histoire révolutionnaire, depuis la crise financière qui conduit à la convocation des États généraux par Louis XVI jusqu’aux débuts de la contre révolution en 1790-91. L’équipe de création a beaucoup travaillé et improvisé à partir de textes d’archives, avec l’appui de la dramaturge Marion Boudier et de l’historien Guillaume Mazeau. Rompant radicalement avec le mythe d’une histoire des héros, Joël Pommerat donne au passé la force du présent en s’intéressant au processus collectif révolutionnaire, à la multiplicité de ses acteurs et à son caractère improvisé. Transformant le plateau de Nanterre-Amandiers en agora, les quatorze acteurs qui endossent plusieurs rôles, proposent une histoire à hauteur d’homme et mettent la parole au centre de l’action théâtrale. Un spectacle qu’on peut voir et revoir sans jamais en épuiser la très riche matière artistique et politique.
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  • Avec Ça ira (1) Fin de Louis, présenté à Nanterre-Amandiers, l’auteur-metteur en scène Joël Pommerat donne à voir la politique et le théâtre en train de se faire. Un théâtre profondément démocratique, intelligible à tous, qui plonge le spectateur dans le bouillonnement idéologique révolutionnaire et réinterroge les nécessités de l’engagement politique. Le spectacle s’inspire des grandes lignes de l’histoire révolutionnaire, depuis la crise financière qui conduit à la convocation des États généraux par Louis XVI jusqu’aux débuts de la contre révolution en 1790-91. L’équipe de création a beaucoup travaillé et improvisé à partir de textes d’archives, avec l’appui de la dramaturge Marion Boudier et de l’historien Guillaume Mazeau. Rompant radicalement avec le mythe d’une histoire des héros, Joël Pommerat donne au passé la force du présent en s’intéressant au processus collectif révolutionnaire, à la multiplicité de ses acteurs et à son caractère improvisé. Transformant le plateau de Nanterre-Amandiers en agora, les quatorze acteurs qui endossent plusieurs rôles, proposent une histoire à hauteur d’homme et mettent la parole au centre de l’action théâtrale. Un spectacle qu’on peut voir et revoir sans jamais en épuiser la très riche matière artistique et politique.
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  • Avec Ça ira (1) Fin de Louis, présenté à Nanterre-Amandiers, l’auteur-metteur en scène Joël Pommerat donne à voir la politique et le théâtre en train de se faire. Un théâtre profondément démocratique, intelligible à tous, qui plonge le spectateur dans le bouillonnement idéologique révolutionnaire et réinterroge les nécessités de l’engagement politique. Le spectacle s’inspire des grandes lignes de l’histoire révolutionnaire, depuis la crise financière qui conduit à la convocation des États généraux par Louis XVI jusqu’aux débuts de la contre révolution en 1790-91. L’équipe de création a beaucoup travaillé et improvisé à partir de textes d’archives, avec l’appui de la dramaturge Marion Boudier et de l’historien Guillaume Mazeau. Rompant radicalement avec le mythe d’une histoire des héros, Joël Pommerat donne au passé la force du présent en s’intéressant au processus collectif révolutionnaire, à la multiplicité de ses acteurs et à son caractère improvisé. Transformant le plateau de Nanterre-Amandiers en agora, les quatorze acteurs qui endossent plusieurs rôles, proposent une histoire à hauteur d’homme et mettent la parole au centre de l’action théâtrale. Un spectacle qu’on peut voir et revoir sans jamais en épuiser la très riche matière artistique et politique.
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  • Avec Ça ira (1) Fin de Louis, présenté à Nanterre-Amandiers, l’auteur-metteur en scène Joël Pommerat donne à voir la politique et le théâtre en train de se faire. Un théâtre profondément démocratique, intelligible à tous, qui plonge le spectateur dans le bouillonnement idéologique révolutionnaire et réinterroge les nécessités de l’engagement politique. Le spectacle s’inspire des grandes lignes de l’histoire révolutionnaire, depuis la crise financière qui conduit à la convocation des États généraux par Louis XVI jusqu’aux débuts de la contre révolution en 1790-91. L’équipe de création a beaucoup travaillé et improvisé à partir de textes d’archives, avec l’appui de la dramaturge Marion Boudier et de l’historien Guillaume Mazeau. Rompant radicalement avec le mythe d’une histoire des héros, Joël Pommerat donne au passé la force du présent en s’intéressant au processus collectif révolutionnaire, à la multiplicité de ses acteurs et à son caractère improvisé. Transformant le plateau de Nanterre-Amandiers en agora, les quatorze acteurs qui endossent plusieurs rôles, proposent une histoire à hauteur d’homme et mettent la parole au centre de l’action théâtrale. Un spectacle qu’on peut voir et revoir sans jamais en épuiser la très riche matière artistique et politique.
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  • Avec Ça ira (1) Fin de Louis, présenté à Nanterre-Amandiers, l’auteur-metteur en scène Joël Pommerat donne à voir la politique et le théâtre en train de se faire. Un théâtre profondément démocratique, intelligible à tous, qui plonge le spectateur dans le bouillonnement idéologique révolutionnaire et réinterroge les nécessités de l’engagement politique. Le spectacle s’inspire des grandes lignes de l’histoire révolutionnaire, depuis la crise financière qui conduit à la convocation des États généraux par Louis XVI jusqu’aux débuts de la contre révolution en 1790-91. L’équipe de création a beaucoup travaillé et improvisé à partir de textes d’archives, avec l’appui de la dramaturge Marion Boudier et de l’historien Guillaume Mazeau. Rompant radicalement avec le mythe d’une histoire des héros, Joël Pommerat donne au passé la force du présent en s’intéressant au processus collectif révolutionnaire, à la multiplicité de ses acteurs et à son caractère improvisé. Transformant le plateau de Nanterre-Amandiers en agora, les quatorze acteurs qui endossent plusieurs rôles, proposent une histoire à hauteur d’homme et mettent la parole au centre de l’action théâtrale. Un spectacle qu’on peut voir et revoir sans jamais en épuiser la très riche matière artistique et politique.
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  • Rencontre débat sur le trajet d’un Marx penseur de formes inédites de la politique avec, Isabelle Garo, philosophe et, Stathis Kouvélakis, professeur de philosophie politique.
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  • Rencontre débat sur le trajet d’un Marx penseur de formes inédites de la politique avec, Isabelle Garo, philosophe et, Stathis Kouvélakis, professeur de philosophie politique.
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  • Avec Ça ira (1) Fin de Louis, présenté à Nanterre-Amandiers, l’auteur-metteur en scène Joël Pommerat donne à voir la politique et le théâtre en train de se faire. Un théâtre profondément démocratique, intelligible à tous, qui plonge le spectateur dans le bouillonnement idéologique révolutionnaire et réinterroge les nécessités de l’engagement politique. Le spectacle s’inspire des grandes lignes de l’histoire révolutionnaire, depuis la crise financière qui conduit à la convocation des États généraux par Louis XVI jusqu’aux débuts de la contre révolution en 1790-91. L’équipe de création a beaucoup travaillé et improvisé à partir de textes d’archives, avec l’appui de la dramaturge Marion Boudier et de l’historien Guillaume Mazeau. Rompant radicalement avec le mythe d’une histoire des héros, Joël Pommerat donne au passé la force du présent en s’intéressant au processus collectif révolutionnaire, à la multiplicité de ses acteurs et à son caractère improvisé. Transformant le plateau de Nanterre-Amandiers en agora, les quatorze acteurs qui endossent plusieurs rôles, proposent une histoire à hauteur d’homme et mettent la parole au centre de l’action théâtrale. Un spectacle qu’on peut voir et revoir sans jamais en épuiser la très riche matière artistique et politique.
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  • Avec Ça ira (1) Fin de Louis, présenté à Nanterre-Amandiers, l’auteur-metteur en scène Joël Pommerat donne à voir la politique et le théâtre en train de se faire. Un théâtre profondément démocratique, intelligible à tous, qui plonge le spectateur dans le bouillonnement idéologique révolutionnaire et réinterroge les nécessités de l’engagement politique. Le spectacle s’inspire des grandes lignes de l’histoire révolutionnaire, depuis la crise financière qui conduit à la convocation des États généraux par Louis XVI jusqu’aux débuts de la contre révolution en 1790-91. L’équipe de création a beaucoup travaillé et improvisé à partir de textes d’archives, avec l’appui de la dramaturge Marion Boudier et de l’historien Guillaume Mazeau. Rompant radicalement avec le mythe d’une histoire des héros, Joël Pommerat donne au passé la force du présent en s’intéressant au processus collectif révolutionnaire, à la multiplicité de ses acteurs et à son caractère improvisé. Transformant le plateau de Nanterre-Amandiers en agora, les quatorze acteurs qui endossent plusieurs rôles, proposent une histoire à hauteur d’homme et mettent la parole au centre de l’action théâtrale. Un spectacle qu’on peut voir et revoir sans jamais en épuiser la très riche matière artistique et politique.
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  • Avec Ça ira (1) Fin de Louis, présenté à Nanterre-Amandiers, l’auteur-metteur en scène Joël Pommerat donne à voir la politique et le théâtre en train de se faire. Un théâtre profondément démocratique, intelligible à tous, qui plonge le spectateur dans le bouillonnement idéologique révolutionnaire et réinterroge les nécessités de l’engagement politique. Le spectacle s’inspire des grandes lignes de l’histoire révolutionnaire, depuis la crise financière qui conduit à la convocation des États généraux par Louis XVI jusqu’aux débuts de la contre révolution en 1790-91. L’équipe de création a beaucoup travaillé et improvisé à partir de textes d’archives, avec l’appui de la dramaturge Marion Boudier et de l’historien Guillaume Mazeau. Rompant radicalement avec le mythe d’une histoire des héros, Joël Pommerat donne au passé la force du présent en s’intéressant au processus collectif révolutionnaire, à la multiplicité de ses acteurs et à son caractère improvisé. Transformant le plateau de Nanterre-Amandiers en agora, les quatorze acteurs qui endossent plusieurs rôles, proposent une histoire à hauteur d’homme et mettent la parole au centre de l’action théâtrale. Un spectacle qu’on peut voir et revoir sans jamais en épuiser la très riche matière artistique et politique.
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  • Avec Ça ira (1) Fin de Louis, présenté à Nanterre-Amandiers, l’auteur-metteur en scène Joël Pommerat donne à voir la politique et le théâtre en train de se faire. Un théâtre profondément démocratique, intelligible à tous, qui plonge le spectateur dans le bouillonnement idéologique révolutionnaire et réinterroge les nécessités de l’engagement politique. Le spectacle s’inspire des grandes lignes de l’histoire révolutionnaire, depuis la crise financière qui conduit à la convocation des États généraux par Louis XVI jusqu’aux débuts de la contre révolution en 1790-91. L’équipe de création a beaucoup travaillé et improvisé à partir de textes d’archives, avec l’appui de la dramaturge Marion Boudier et de l’historien Guillaume Mazeau. Rompant radicalement avec le mythe d’une histoire des héros, Joël Pommerat donne au passé la force du présent en s’intéressant au processus collectif révolutionnaire, à la multiplicité de ses acteurs et à son caractère improvisé. Transformant le plateau de Nanterre-Amandiers en agora, les quatorze acteurs qui endossent plusieurs rôles, proposent une histoire à hauteur d’homme et mettent la parole au centre de l’action théâtrale. Un spectacle qu’on peut voir et revoir sans jamais en épuiser la très riche matière artistique et politique.
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  • Avec Ça ira (1) Fin de Louis, présenté à Nanterre-Amandiers, l’auteur-metteur en scène Joël Pommerat donne à voir la politique et le théâtre en train de se faire. Un théâtre profondément démocratique, intelligible à tous, qui plonge le spectateur dans le bouillonnement idéologique révolutionnaire et réinterroge les nécessités de l’engagement politique. Le spectacle s’inspire des grandes lignes de l’histoire révolutionnaire, depuis la crise financière qui conduit à la convocation des États généraux par Louis XVI jusqu’aux débuts de la contre révolution en 1790-91. L’équipe de création a beaucoup travaillé et improvisé à partir de textes d’archives, avec l’appui de la dramaturge Marion Boudier et de l’historien Guillaume Mazeau. Rompant radicalement avec le mythe d’une histoire des héros, Joël Pommerat donne au passé la force du présent en s’intéressant au processus collectif révolutionnaire, à la multiplicité de ses acteurs et à son caractère improvisé. Transformant le plateau de Nanterre-Amandiers en agora, les quatorze acteurs qui endossent plusieurs rôles, proposent une histoire à hauteur d’homme et mettent la parole au centre de l’action théâtrale. Un spectacle qu’on peut voir et revoir sans jamais en épuiser la très riche matière artistique et politique.
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  • Avec Ça ira (1) Fin de Louis, présenté à Nanterre-Amandiers, l’auteur-metteur en scène Joël Pommerat donne à voir la politique et le théâtre en train de se faire. Un théâtre profondément démocratique, intelligible à tous, qui plonge le spectateur dans le bouillonnement idéologique révolutionnaire et réinterroge les nécessités de l’engagement politique. Le spectacle s’inspire des grandes lignes de l’histoire révolutionnaire, depuis la crise financière qui conduit à la convocation des États généraux par Louis XVI jusqu’aux débuts de la contre révolution en 1790-91. L’équipe de création a beaucoup travaillé et improvisé à partir de textes d’archives, avec l’appui de la dramaturge Marion Boudier et de l’historien Guillaume Mazeau. Rompant radicalement avec le mythe d’une histoire des héros, Joël Pommerat donne au passé la force du présent en s’intéressant au processus collectif révolutionnaire, à la multiplicité de ses acteurs et à son caractère improvisé. Transformant le plateau de Nanterre-Amandiers en agora, les quatorze acteurs qui endossent plusieurs rôles, proposent une histoire à hauteur d’homme et mettent la parole au centre de l’action théâtrale. Un spectacle qu’on peut voir et revoir sans jamais en épuiser la très riche matière artistique et politique.
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  • Pierre Laurent est un journaliste et homme politique français, ancien directeur de la rédaction de L'Humanité, secrétaire national du Parti communiste français depuis le 20 juin 2010, sénateur de Paris depuis 2012 et président du Parti de la gauche européenne entre 2010 et 2016.
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  • Pierre Laurent est un journaliste et homme politique français, ancien directeur de la rédaction de L'Humanité, secrétaire national du Parti communiste français depuis le 20 juin 2010, sénateur de Paris depuis 2012 et président du Parti de la gauche européenne entre 2010 et 2016.
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  • Pierre Laurent est un journaliste et homme politique français, ancien directeur de la rédaction de L'Humanité, secrétaire national du Parti communiste français depuis le 20 juin 2010, sénateur de Paris depuis 2012 et président du Parti de la gauche européenne entre 2010 et 2016.
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  • Pierre Laurent est un journaliste et homme politique français, ancien directeur de la rédaction de L'Humanité, secrétaire national du Parti communiste français depuis le 20 juin 2010, sénateur de Paris depuis 2012 et président du Parti de la gauche européenne entre 2010 et 2016.
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  • Pierre Laurent est un journaliste et homme politique français, ancien directeur de la rédaction de L'Humanité, secrétaire national du Parti communiste français depuis le 20 juin 2010, sénateur de Paris depuis 2012 et président du Parti de la gauche européenne entre 2010 et 2016.
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  • Pierre Laurent est un journaliste et homme politique français, ancien directeur de la rédaction de L'Humanité, secrétaire national du Parti communiste français depuis le 20 juin 2010, sénateur de Paris depuis 2012 et président du Parti de la gauche européenne entre 2010 et 2016.
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  • Pierre Laurent est un journaliste et homme politique français, ancien directeur de la rédaction de L'Humanité, secrétaire national du Parti communiste français depuis le 20 juin 2010, sénateur de Paris depuis 2012 et président du Parti de la gauche européenne entre 2010 et 2016.
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  • Pierre Laurent est un journaliste et homme politique français, ancien directeur de la rédaction de L'Humanité, secrétaire national du Parti communiste français depuis le 20 juin 2010, sénateur de Paris depuis 2012 et président du Parti de la gauche européenne entre 2010 et 2016.
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  • Pierre Laurent est un journaliste et homme politique français, ancien directeur de la rédaction de L'Humanité, secrétaire national du Parti communiste français depuis le 20 juin 2010, sénateur de Paris depuis 2012 et président du Parti de la gauche européenne entre 2010 et 2016.
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  • Pierre Laurent est un journaliste et homme politique français, ancien directeur de la rédaction de L'Humanité, secrétaire national du Parti communiste français depuis le 20 juin 2010, sénateur de Paris depuis 2012 et président du Parti de la gauche européenne entre 2010 et 2016.
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  • Pierre Laurent est un journaliste et homme politique français, ancien directeur de la rédaction de L'Humanité, secrétaire national du Parti communiste français depuis le 20 juin 2010, sénateur de Paris depuis 2012 et président du Parti de la gauche européenne entre 2010 et 2016.
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  • Déstabilisés par l’intransigeance de l’Europe dans<br />
la crise grecque, divisés et parfois démobilisés,<br />
les mouvements sociaux tentent de maintenir<br />
allumé l’espoir d’une autre Europe. En octobre 2015, ils convergeaient à Bruxelles pour un “Altersommet”.
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  • Des adolescents de l’institut médico-éducatif découvrent la<br />
lumière avec le régisseur de scène. Le Forum du Blanc-Mesnil accueille ses derniers spectacles. Jeudi 13 novembre 2015, le nouveau maire UMP a mis fin à la convention qui liait le Forum, la Ville, les autres collectivités territoriales et l’État. L’association qui fait vivre le lieu ne survivra pas au-delà de fin décembre.<br />
Ce sont vingt emplois permanents menacés ; deux-cents à deux-cent-cinquante intermittents déprogrammés pour la fin de la saison ; six compagnies en résidence fragilisées. Ce sont aussi des liens humains qui tissaient une ville au quotidien qui disparaissent. Les crèches, les écoles, les collèges, les lycées, les hôpitaux, les centres sociaux, les services municipaux, les maisons de retraites, les associations menaient avec les artistes en résidence des projets de toutes sortes depuis une quinzaine d’années.
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  • Le Forum du Blanc-Mesnil accueille ses derniers spectacles. Jeudi 13 novembre 2015, le nouveau maire UMP a mis fin à la convention qui liait le Forum, la Ville, les autres collectivités territoriales et l’État. L’association qui fait vivre le lieu ne survivra pas au-delà de fin décembre.<br />
Ce sont vingt emplois permanents menacés ; deux-cents à deux-cent-cinquante intermittents déprogrammés pour la fin de la saison ; six compagnies en résidence fragilisées. Ce sont aussi des liens humains qui tissaient une ville au quotidien qui disparaissent. Les crèches, les écoles, les collèges, les lycées, les hôpitaux, les centres sociaux, les services municipaux, les maisons de retraites, les associations menaient avec les artistes en résidence des projets de toutes sortes depuis une quinzaine d’années.
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  • Mobilisation des habitants lors du conseil<br />
municipal du 13 novembre 2015 du Blanc-Mesnil alors que le nouveau maire UMP met fin à la convention qui liait le Forum, la Ville, les autres collectivités territoriales et l’État. L’association qui fait vivre le lieu ne survivra pas au-delà de fin décembre.<br />
Ce sont vingt emplois permanents menacés ; deux-cents à deux-cent-cinquante intermittents déprogrammés pour la fin de la saison ; six compagnies en résidence fragilisées. Ce sont aussi des liens humains qui tissaient une ville au quotidien qui disparaissent. Les crèches, les écoles, les collèges, les lycées, les hôpitaux, les centres sociaux, les services municipaux, les maisons de retraites, les associations menaient avec les artistes en résidence des projets de toutes sortes depuis une quinzaine d’années.
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  • Déstabilisés par l’intransigeance de l’Europe dans<br />
la crise grecque, divisés et parfois démobilisés,<br />
les mouvements sociaux tentent de maintenir<br />
allumé l’espoir d’une autre Europe. En octobre 2015, ils convergeaient à Bruxelles pour un “Altersommet”.
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  • Déstabilisés par l’intransigeance de l’Europe dans<br />
la crise grecque, divisés et parfois démobilisés,<br />
les mouvements sociaux tentent de maintenir<br />
allumé l’espoir d’une autre Europe. En octobre 2015, ils convergeaient à Bruxelles pour un “Altersommet”.
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  • Déstabilisés par l’intransigeance de l’Europe dans<br />
la crise grecque, divisés et parfois démobilisés,<br />
les mouvements sociaux tentent de maintenir<br />
allumé l’espoir d’une autre Europe. En octobre 2015, ils convergeaient à Bruxelles pour un “Altersommet”.
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  • Déstabilisés par l’intransigeance de l’Europe dans<br />
la crise grecque, divisés et parfois démobilisés,<br />
les mouvements sociaux tentent de maintenir<br />
allumé l’espoir d’une autre Europe. En octobre 2015, ils convergeaient à Bruxelles pour un “Altersommet”.
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  • Déstabilisés par l’intransigeance de l’Europe dans<br />
la crise grecque, divisés et parfois démobilisés,<br />
les mouvements sociaux tentent de maintenir<br />
allumé l’espoir d’une autre Europe. En octobre 2015, ils convergeaient à Bruxelles pour un “Altersommet”.
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  • Atelier sur la souveraineté alimentaire. Déstabilisés par l’intransigeance de l’Europe dans la crise grecque, divisés et parfois démobilisés, les mouvements sociaux tentent de maintenir allumé l’espoir d’une autre Europe. En octobre 2015, ils convergeaient à Bruxelles pour un “Altersommet”.
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  • Mardi 18 novembre, Maguy Marin présente Bit, en partenariat avec le Festival d’Automne. Le Forum du Blanc-Mesnil accueille ses derniers spectacles. Jeudi 13 novembre, le nouveau maire UMP a mis fin à la convention qui liait le Forum, la Ville, les autres collectivités territoriales et l’État. L’association qui fait vivre le lieu ne survivra pas au-delà de fin décembre.<br />
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Ce sont vingt emplois permanents menacés ; deux-cents à deux-cent-cinquante intermittents déprogrammés pour la fin de la saison ; six compagnies en résidence fragilisées. Ce sont aussi des liens humains qui tissaient une ville au quotidien qui disparaissent. Les crèches, les écoles, les collèges, les lycées, les hôpitaux, les centres sociaux, les services municipaux, les maisons de retraites, les associations menaient avec les artistes en résidence des projets de toutes sortes depuis une quinzaine d’années.
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  • Le Forum du Blanc-Mesnil accueille ses derniers spectacles. Jeudi 13 novembre 2015, le nouveau maire UMP a mis fin à la convention qui liait le Forum, la Ville, les autres collectivités territoriales et l’État. L’association qui fait vivre le lieu ne survivra pas au-delà de fin décembre.<br />
Ce sont vingt emplois permanents menacés ; deux-cents à deux-cent-cinquante intermittents déprogrammés pour la fin de la saison ; six compagnies en résidence fragilisées. Ce sont aussi des liens humains qui tissaient une ville au quotidien qui disparaissent. Les crèches, les écoles, les collèges, les lycées, les hôpitaux, les centres sociaux, les services municipaux, les maisons de retraites, les associations menaient avec les artistes en résidence des projets de toutes sortes depuis une quinzaine d’années.
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  • Une harpiste de<br />
l’orchestre des Siècles en résidence au Forum arrive une rencontre dans un café associatif des Tilleuls, un quartier ordinaire de banlieue avec ses tours, ses<br />
canapés pour dealers sous les porches et ses grilles de<br />
magasins fermés. <br />
Jeudi 13 novembre 2015, le nouveau maire UMP a mis fin à la convention qui liait le Forum, la Ville, les autres collectivités territoriales et l’État. L’association qui fait vivre le lieu ne survivra pas au-delà de fin décembre.<br />
Ce sont vingt emplois permanents menacés ; deux-cents à deux-cent-cinquante intermittents déprogrammés pour la fin de la saison ; six compagnies en résidence fragilisées. Ce sont aussi des liens humains qui tissaient une ville au quotidien qui disparaissent. Les crèches, les écoles, les collèges, les lycées, les hôpitaux, les centres sociaux, les services municipaux, les maisons de retraites, les associations menaient avec les artistes en résidence des projets de toutes sortes depuis une quinzaine d’années.
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  • Mobilisation des habitants lors du conseil<br />
municipal du 13 novembre 2015 du Blanc-Mesnil alors que le nouveau maire UMP met fin à la convention qui liait le Forum, la Ville, les autres collectivités territoriales et l’État. L’association qui fait vivre le lieu ne survivra pas au-delà de fin décembre.<br />
Ce sont vingt emplois permanents menacés ; deux-cents à deux-cent-cinquante intermittents déprogrammés pour la fin de la saison ; six compagnies en résidence fragilisées. Ce sont aussi des liens humains qui tissaient une ville au quotidien qui disparaissent. Les crèches, les écoles, les collèges, les lycées, les hôpitaux, les centres sociaux, les services municipaux, les maisons de retraites, les associations menaient avec les artistes en résidence des projets de toutes sortes depuis une quinzaine d’années.
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  • Les élèves en décrochage scolaire visitent une<br />
exposition du collectif Tendance floue. Le Forum du Blanc-Mesnil accueille ses derniers spectacles. Jeudi 13 novembre 2015, le nouveau maire UMP a mis fin à la convention qui liait le Forum, la Ville, les autres collectivités territoriales et l’État. L’association qui fait vivre le lieu ne survivra pas au-delà de fin décembre.<br />
Ce sont vingt emplois permanents menacés ; deux-cents à deux-cent-cinquante intermittents déprogrammés pour la fin de la saison ; six compagnies en résidence fragilisées. Ce sont aussi des liens humains qui tissaient une ville au quotidien qui disparaissent. Les crèches, les écoles, les collèges, les lycées, les hôpitaux, les centres sociaux, les services municipaux, les maisons de retraites, les associations menaient avec les artistes en résidence des projets de toutes sortes depuis une quinzaine d’années.
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  • Déstabilisés par l’intransigeance de l’Europe dans<br />
la crise grecque, divisés et parfois démobilisés,<br />
les mouvements sociaux tentent de maintenir<br />
allumé l’espoir d’une autre Europe. En octobre 2015, ils convergeaient à Bruxelles pour un “Altersommet”.
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  • Déstabilisés par l’intransigeance de l’Europe dans<br />
la crise grecque, divisés et parfois démobilisés,<br />
les mouvements sociaux tentent de maintenir<br />
allumé l’espoir d’une autre Europe. En octobre 2015, ils convergeaient à Bruxelles pour un “Altersommet”.
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  • Déstabilisés par l’intransigeance de l’Europe dans<br />
la crise grecque, divisés et parfois démobilisés,<br />
les mouvements sociaux tentent de maintenir<br />
allumé l’espoir d’une autre Europe. En octobre 2015, ils convergeaient à Bruxelles pour un “Altersommet”.
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  • Déstabilisés par l’intransigeance de l’Europe dans<br />
la crise grecque, divisés et parfois démobilisés,<br />
les mouvements sociaux tentent de maintenir<br />
allumé l’espoir d’une autre Europe. En octobre 2015, ils convergeaient à Bruxelles pour un “Altersommet”.
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  • Déstabilisés par l’intransigeance de l’Europe dans<br />
la crise grecque, divisés et parfois démobilisés,<br />
les mouvements sociaux tentent de maintenir<br />
allumé l’espoir d’une autre Europe. En octobre 2015, ils convergeaient à Bruxelles pour un “Altersommet”.
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  • Déstabilisés par l’intransigeance de l’Europe dans<br />
la crise grecque, divisés et parfois démobilisés,<br />
les mouvements sociaux tentent de maintenir<br />
allumé l’espoir d’une autre Europe. En octobre 2015, ils convergeaient à Bruxelles pour un “Altersommet”.
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  • Déstabilisés par l’intransigeance de l’Europe dans<br />
la crise grecque, divisés et parfois démobilisés,<br />
les mouvements sociaux tentent de maintenir<br />
allumé l’espoir d’une autre Europe. En octobre 2015, ils convergeaient à Bruxelles pour un “Altersommet”.
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  • Déstabilisés par l’intransigeance de l’Europe dans<br />
la crise grecque, divisés et parfois démobilisés,<br />
les mouvements sociaux tentent de maintenir<br />
allumé l’espoir d’une autre Europe. En octobre 2015, ils convergeaient à Bruxelles pour un “Altersommet”.
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  • Rencontre débat sur le revenu universel avec, Corinne Morel Darleux, Secrétaire nationale à l’écosocialisme du Parti de gauche et conseillère régionale Auvergne Rhône Alpes et, Daniel Zamora, Sociologue à l’université de Cambridge.
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  • Le Forum du Blanc-Mesnil accueille ses derniers spectacles. Jeudi 13 novembre 2015, le nouveau maire UMP a mis fin à la convention qui liait le Forum, la Ville, les autres collectivités territoriales et l’État. L’association qui fait vivre le lieu ne survivra pas au-delà de fin décembre.<br />
Ce sont vingt emplois permanents menacés ; deux-cents à deux-cent-cinquante intermittents déprogrammés pour la fin de la saison ; six compagnies en résidence fragilisées. Ce sont aussi des liens humains qui tissaient une ville au quotidien qui disparaissent. Les crèches, les écoles, les collèges, les lycées, les hôpitaux, les centres sociaux, les services municipaux, les maisons de retraites, les associations menaient avec les artistes en résidence des projets de toutes sortes depuis une quinzaine d’années.
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  • Les élèves en décrochage scolaire visitent une<br />
exposition du collectif Tendance floue. Le Forum du Blanc-Mesnil accueille ses derniers spectacles. Jeudi 13 novembre 2015, le nouveau maire UMP a mis fin à la convention qui liait le Forum, la Ville, les autres collectivités territoriales et l’État. L’association qui fait vivre le lieu ne survivra pas au-delà de fin décembre.<br />
Ce sont vingt emplois permanents menacés ; deux-cents à deux-cent-cinquante intermittents déprogrammés pour la fin de la saison ; six compagnies en résidence fragilisées. Ce sont aussi des liens humains qui tissaient une ville au quotidien qui disparaissent. Les crèches, les écoles, les collèges, les lycées, les hôpitaux, les centres sociaux, les services municipaux, les maisons de retraites, les associations menaient avec les artistes en résidence des projets de toutes sortes depuis une quinzaine d’années.
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  • Le Forum du Blanc-Mesnil accueille ses derniers spectacles. Jeudi 13 novembre 2015, le nouveau maire UMP a mis fin à la convention qui liait le Forum, la Ville, les autres collectivités territoriales et l’État. L’association qui fait vivre le lieu ne survivra pas au-delà de fin décembre.<br />
Ce sont vingt emplois permanents menacés ; deux-cents à deux-cent-cinquante intermittents déprogrammés pour la fin de la saison ; six compagnies en résidence fragilisées. Ce sont aussi des liens humains qui tissaient une ville au quotidien qui disparaissent. Les crèches, les écoles, les collèges, les lycées, les hôpitaux, les centres sociaux, les services municipaux, les maisons de retraites, les associations menaient avec les artistes en résidence des projets de toutes sortes depuis une quinzaine d’années.
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  • Xavier Croci, directeur du théâtre. Le Forum du Blanc-Mesnil accueille ses derniers spectacles. Jeudi 13 novembre 2015, le nouveau maire UMP a mis fin à la convention qui liait le Forum, la Ville, les autres collectivités territoriales et l’État. L’association qui fait vivre le lieu ne survivra pas au-delà de fin décembre.<br />
Ce sont vingt emplois permanents menacés ; deux-cents à deux-cent-cinquante intermittents déprogrammés pour la fin de la saison ; six compagnies en résidence fragilisées. Ce sont aussi des liens humains qui tissaient une ville au quotidien qui disparaissent. Les crèches, les écoles, les collèges, les lycées, les hôpitaux, les centres sociaux, les services municipaux, les maisons de retraites, les associations menaient avec les artistes en résidence des projets de toutes sortes depuis une quinzaine d’années.
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  • Les bureaux des attachés aux relations avec le public. Le Forum du Blanc-Mesnil accueille ses derniers spectacles. Jeudi 13 novembre 2015, le nouveau maire UMP a mis fin à la convention qui liait le Forum, la Ville, les autres collectivités territoriales et l’État. L’association qui fait vivre le lieu ne survivra pas au-delà de fin décembre.<br />
Ce sont vingt emplois permanents menacés ; deux-cents à deux-cent-cinquante intermittents déprogrammés pour la fin de la saison ; six compagnies en résidence fragilisées. Ce sont aussi des liens humains qui tissaient une ville au quotidien qui disparaissent. Les crèches, les écoles, les collèges, les lycées, les hôpitaux, les centres sociaux, les services municipaux, les maisons de retraites, les associations menaient avec les artistes en résidence des projets de toutes sortes depuis une quinzaine d’années.
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  • Le Forum du Blanc-Mesnil accueille ses derniers spectacles. Jeudi 13 novembre 2015, le nouveau maire UMP a mis fin à la convention qui liait le Forum, la Ville, les autres collectivités territoriales et l’État. L’association qui fait vivre le lieu ne survivra pas au-delà de fin décembre.<br />
Ce sont vingt emplois permanents menacés ; deux-cents à deux-cent-cinquante intermittents déprogrammés pour la fin de la saison ; six compagnies en résidence fragilisées. Ce sont aussi des liens humains qui tissaient une ville au quotidien qui disparaissent. Les crèches, les écoles, les collèges, les lycées, les hôpitaux, les centres sociaux, les services municipaux, les maisons de retraites, les associations menaient avec les artistes en résidence des projets de toutes sortes depuis une quinzaine d’années.
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  • Déstabilisés par l’intransigeance de l’Europe dans<br />
la crise grecque, divisés et parfois démobilisés,<br />
les mouvements sociaux tentent de maintenir<br />
allumé l’espoir d’une autre Europe. En octobre 2015, ils convergeaient à Bruxelles pour un “Altersommet”.
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  • Déstabilisés par l’intransigeance de l’Europe dans<br />
la crise grecque, divisés et parfois démobilisés,<br />
les mouvements sociaux tentent de maintenir<br />
allumé l’espoir d’une autre Europe. En octobre 2015, ils convergeaient à Bruxelles pour un “Altersommet”.
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  • Déstabilisés par l’intransigeance de l’Europe dans<br />
la crise grecque, divisés et parfois démobilisés,<br />
les mouvements sociaux tentent de maintenir<br />
allumé l’espoir d’une autre Europe. En octobre 2015, ils convergeaient à Bruxelles pour un “Altersommet”.
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  • Déstabilisés par l’intransigeance de l’Europe dans<br />
la crise grecque, divisés et parfois démobilisés,<br />
les mouvements sociaux tentent de maintenir<br />
allumé l’espoir d’une autre Europe. En octobre 2015, ils convergeaient à Bruxelles pour un “Altersommet”.
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  • Déstabilisés par l’intransigeance de l’Europe dans<br />
la crise grecque, divisés et parfois démobilisés,<br />
les mouvements sociaux tentent de maintenir<br />
allumé l’espoir d’une autre Europe. En octobre 2015, ils convergeaient à Bruxelles pour un “Altersommet”.
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  • Atelier sur la souveraineté alimentaire. Déstabilisés par l’intransigeance de l’Europe dans la crise grecque, divisés et parfois démobilisés, les mouvements sociaux tentent de maintenir allumé l’espoir d’une autre Europe. En octobre 2015, ils convergeaient à Bruxelles pour un “Altersommet”.
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  • Atelier sur la souveraineté alimentaire. Déstabilisés par l’intransigeance de l’Europe dans la crise grecque, divisés et parfois démobilisés, les mouvements sociaux tentent de maintenir allumé l’espoir d’une autre Europe. En octobre 2015, ils convergeaient à Bruxelles pour un “Altersommet”.
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  • Déstabilisés par l’intransigeance de l’Europe dans<br />
la crise grecque, divisés et parfois démobilisés,<br />
les mouvements sociaux tentent de maintenir<br />
allumé l’espoir d’une autre Europe. En octobre 2015, ils convergeaient à Bruxelles pour un “Altersommet”.
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  • Le Forum du Blanc-Mesnil accueille ses derniers spectacles. Jeudi 13 novembre 2015, le nouveau maire UMP a mis fin à la convention qui liait le Forum, la Ville, les autres collectivités territoriales et l’État. L’association qui fait vivre le lieu ne survivra pas au-delà de fin décembre.<br />
Ce sont vingt emplois permanents menacés ; deux-cents à deux-cent-cinquante intermittents déprogrammés pour la fin de la saison ; six compagnies en résidence fragilisées. Ce sont aussi des liens humains qui tissaient une ville au quotidien qui disparaissent. Les crèches, les écoles, les collèges, les lycées, les hôpitaux, les centres sociaux, les services municipaux, les maisons de retraites, les associations menaient avec les artistes en résidence des projets de toutes sortes depuis une quinzaine d’années.
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  • Le Forum du Blanc-Mesnil accueille ses derniers spectacles. Jeudi 13 novembre 2015, le nouveau maire UMP a mis fin à la convention qui liait le Forum, la Ville, les autres collectivités territoriales et l’État. L’association qui fait vivre le lieu ne survivra pas au-delà de fin décembre.<br />
Ce sont vingt emplois permanents menacés ; deux-cents à deux-cent-cinquante intermittents déprogrammés pour la fin de la saison ; six compagnies en résidence fragilisées. Ce sont aussi des liens humains qui tissaient une ville au quotidien qui disparaissent. Les crèches, les écoles, les collèges, les lycées, les hôpitaux, les centres sociaux, les services municipaux, les maisons de retraites, les associations menaient avec les artistes en résidence des projets de toutes sortes depuis une quinzaine d’années.
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  • Le Forum du Blanc-Mesnil accueille ses derniers spectacles. Jeudi 13 novembre 2015, le nouveau maire UMP a mis fin à la convention qui liait le Forum, la Ville, les autres collectivités territoriales et l’État. L’association qui fait vivre le lieu ne survivra pas au-delà de fin décembre.<br />
Ce sont vingt emplois permanents menacés ; deux-cents à deux-cent-cinquante intermittents déprogrammés pour la fin de la saison ; six compagnies en résidence fragilisées. Ce sont aussi des liens humains qui tissaient une ville au quotidien qui disparaissent. Les crèches, les écoles, les collèges, les lycées, les hôpitaux, les centres sociaux, les services municipaux, les maisons de retraites, les associations menaient avec les artistes en résidence des projets de toutes sortes depuis une quinzaine d’années.
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  • Le Forum du Blanc-Mesnil accueille ses derniers spectacles. Jeudi 13 novembre 2015, le nouveau maire UMP a mis fin à la convention qui liait le Forum, la Ville, les autres collectivités territoriales et l’État. L’association qui fait vivre le lieu ne survivra pas au-delà de fin décembre.<br />
Ce sont vingt emplois permanents menacés ; deux-cents à deux-cent-cinquante intermittents déprogrammés pour la fin de la saison ; six compagnies en résidence fragilisées. Ce sont aussi des liens humains qui tissaient une ville au quotidien qui disparaissent. Les crèches, les écoles, les collèges, les lycées, les hôpitaux, les centres sociaux, les services municipaux, les maisons de retraites, les associations menaient avec les artistes en résidence des projets de toutes sortes depuis une quinzaine d’années.
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  • Les élèves en décrochage scolaire visitent une<br />
exposition du collectif Tendance floue. Le Forum du Blanc-Mesnil accueille ses derniers spectacles. Jeudi 13 novembre 2015, le nouveau maire UMP a mis fin à la convention qui liait le Forum, la Ville, les autres collectivités territoriales et l’État. L’association qui fait vivre le lieu ne survivra pas au-delà de fin décembre.<br />
Ce sont vingt emplois permanents menacés ; deux-cents à deux-cent-cinquante intermittents déprogrammés pour la fin de la saison ; six compagnies en résidence fragilisées. Ce sont aussi des liens humains qui tissaient une ville au quotidien qui disparaissent. Les crèches, les écoles, les collèges, les lycées, les hôpitaux, les centres sociaux, les services municipaux, les maisons de retraites, les associations menaient avec les artistes en résidence des projets de toutes sortes depuis une quinzaine d’années.
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  • Le Forum du Blanc-Mesnil accueille ses derniers spectacles. Jeudi 13 novembre 2015, le nouveau maire UMP a mis fin à la convention qui liait le Forum, la Ville, les autres collectivités territoriales et l’État. L’association qui fait vivre le lieu ne survivra pas au-delà de fin décembre.<br />
Ce sont vingt emplois permanents menacés ; deux-cents à deux-cent-cinquante intermittents déprogrammés pour la fin de la saison ; six compagnies en résidence fragilisées. Ce sont aussi des liens humains qui tissaient une ville au quotidien qui disparaissent. Les crèches, les écoles, les collèges, les lycées, les hôpitaux, les centres sociaux, les services municipaux, les maisons de retraites, les associations menaient avec les artistes en résidence des projets de toutes sortes depuis une quinzaine d’années.
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  • Mobilisation des habitants lors du conseil<br />
municipal du 13 novembre 2015 du Blanc-Mesnil alors que le nouveau maire UMP met fin à la convention qui liait le Forum, la Ville, les autres collectivités territoriales et l’État. L’association qui fait vivre le lieu ne survivra pas au-delà de fin décembre.<br />
Ce sont vingt emplois permanents menacés ; deux-cents à deux-cent-cinquante intermittents déprogrammés pour la fin de la saison ; six compagnies en résidence fragilisées. Ce sont aussi des liens humains qui tissaient une ville au quotidien qui disparaissent. Les crèches, les écoles, les collèges, les lycées, les hôpitaux, les centres sociaux, les services municipaux, les maisons de retraites, les associations menaient avec les artistes en résidence des projets de toutes sortes depuis une quinzaine d’années.
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  • Mobilisation des habitants lors du conseil<br />
municipal du 13 novembre 2015 du Blanc-Mesnil alors que le nouveau maire UMP met fin à la convention qui liait le Forum, la Ville, les autres collectivités territoriales et l’État. L’association qui fait vivre le lieu ne survivra pas au-delà de fin décembre.<br />
Ce sont vingt emplois permanents menacés ; deux-cents à deux-cent-cinquante intermittents déprogrammés pour la fin de la saison ; six compagnies en résidence fragilisées. Ce sont aussi des liens humains qui tissaient une ville au quotidien qui disparaissent. Les crèches, les écoles, les collèges, les lycées, les hôpitaux, les centres sociaux, les services municipaux, les maisons de retraites, les associations menaient avec les artistes en résidence des projets de toutes sortes depuis une quinzaine d’années.
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  • Mobilisation des habitants lors du conseil<br />
municipal du 13 novembre 2015 du Blanc-Mesnil alors que le nouveau maire UMP met fin à la convention qui liait le Forum, la Ville, les autres collectivités territoriales et l’État. L’association qui fait vivre le lieu ne survivra pas au-delà de fin décembre.<br />
Ce sont vingt emplois permanents menacés ; deux-cents à deux-cent-cinquante intermittents déprogrammés pour la fin de la saison ; six compagnies en résidence fragilisées. Ce sont aussi des liens humains qui tissaient une ville au quotidien qui disparaissent. Les crèches, les écoles, les collèges, les lycées, les hôpitaux, les centres sociaux, les services municipaux, les maisons de retraites, les associations menaient avec les artistes en résidence des projets de toutes sortes depuis une quinzaine d’années.
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  • Rencontre débat sur le trajet d’un Marx penseur de formes inédites de la politique avec, Isabelle Garo, philosophe et, Stathis Kouvélakis, professeur de philosophie politique.
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  • Rencontre débat sur le trajet d’un Marx penseur de formes inédites de la politique avec, Isabelle Garo, philosophe et, Stathis Kouvélakis, professeur de philosophie politique.
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