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  • Avec Ça ira (1) Fin de Louis, présenté à Nanterre-Amandiers, l’auteur-metteur en scène Joël Pommerat donne à voir la politique et le théâtre en train de se faire. Un théâtre profondément démocratique, intelligible à tous, qui plonge le spectateur dans le bouillonnement idéologique révolutionnaire et réinterroge les nécessités de l’engagement politique. Le spectacle s’inspire des grandes lignes de l’histoire révolutionnaire, depuis la crise financière qui conduit à la convocation des États généraux par Louis XVI jusqu’aux débuts de la contre révolution en 1790-91. L’équipe de création a beaucoup travaillé et improvisé à partir de textes d’archives, avec l’appui de la dramaturge Marion Boudier et de l’historien Guillaume Mazeau. Rompant radicalement avec le mythe d’une histoire des héros, Joël Pommerat donne au passé la force du présent en s’intéressant au processus collectif révolutionnaire, à la multiplicité de ses acteurs et à son caractère improvisé. Transformant le plateau de Nanterre-Amandiers en agora, les quatorze acteurs qui endossent plusieurs rôles, proposent une histoire à hauteur d’homme et mettent la parole au centre de l’action théâtrale. Un spectacle qu’on peut voir et revoir sans jamais en épuiser la très riche matière artistique et politique.
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  • Avec Ça ira (1) Fin de Louis, présenté à Nanterre-Amandiers, l’auteur-metteur en scène Joël Pommerat donne à voir la politique et le théâtre en train de se faire. Un théâtre profondément démocratique, intelligible à tous, qui plonge le spectateur dans le bouillonnement idéologique révolutionnaire et réinterroge les nécessités de l’engagement politique. Le spectacle s’inspire des grandes lignes de l’histoire révolutionnaire, depuis la crise financière qui conduit à la convocation des États généraux par Louis XVI jusqu’aux débuts de la contre révolution en 1790-91. L’équipe de création a beaucoup travaillé et improvisé à partir de textes d’archives, avec l’appui de la dramaturge Marion Boudier et de l’historien Guillaume Mazeau. Rompant radicalement avec le mythe d’une histoire des héros, Joël Pommerat donne au passé la force du présent en s’intéressant au processus collectif révolutionnaire, à la multiplicité de ses acteurs et à son caractère improvisé. Transformant le plateau de Nanterre-Amandiers en agora, les quatorze acteurs qui endossent plusieurs rôles, proposent une histoire à hauteur d’homme et mettent la parole au centre de l’action théâtrale. Un spectacle qu’on peut voir et revoir sans jamais en épuiser la très riche matière artistique et politique.
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  • Avec Ça ira (1) Fin de Louis, présenté à Nanterre-Amandiers, l’auteur-metteur en scène Joël Pommerat donne à voir la politique et le théâtre en train de se faire. Un théâtre profondément démocratique, intelligible à tous, qui plonge le spectateur dans le bouillonnement idéologique révolutionnaire et réinterroge les nécessités de l’engagement politique. Le spectacle s’inspire des grandes lignes de l’histoire révolutionnaire, depuis la crise financière qui conduit à la convocation des États généraux par Louis XVI jusqu’aux débuts de la contre révolution en 1790-91. L’équipe de création a beaucoup travaillé et improvisé à partir de textes d’archives, avec l’appui de la dramaturge Marion Boudier et de l’historien Guillaume Mazeau. Rompant radicalement avec le mythe d’une histoire des héros, Joël Pommerat donne au passé la force du présent en s’intéressant au processus collectif révolutionnaire, à la multiplicité de ses acteurs et à son caractère improvisé. Transformant le plateau de Nanterre-Amandiers en agora, les quatorze acteurs qui endossent plusieurs rôles, proposent une histoire à hauteur d’homme et mettent la parole au centre de l’action théâtrale. Un spectacle qu’on peut voir et revoir sans jamais en épuiser la très riche matière artistique et politique.
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  • Les coulisses des préparatifs de la comédie musicale "Un américain à Paris" au Théâtre du Châtelet. Ateliers de fabrication des costumes.
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  • Les coulisses des préparatifs de la comédie musicale "Un américain à Paris" au Théâtre du Châtelet. Jean-Luc Choplin, directeur du Théâtre du Châtelet.
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  • Théâtre du Châtelet, Paris.
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  • Les coulisses des préparatifs de la comédie musicale "Un américain à Paris" au Théâtre du Châtelet. Ateliers de fabrication des costumes.
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  • Les coulisses des préparatifs de la comédie musicale "Un américain à Paris" au Théâtre du Châtelet. Ateliers de fabrication des costumes.
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  • Avec Ça ira (1) Fin de Louis, présenté à Nanterre-Amandiers, l’auteur-metteur en scène Joël Pommerat donne à voir la politique et le théâtre en train de se faire. Un théâtre profondément démocratique, intelligible à tous, qui plonge le spectateur dans le bouillonnement idéologique révolutionnaire et réinterroge les nécessités de l’engagement politique. Le spectacle s’inspire des grandes lignes de l’histoire révolutionnaire, depuis la crise financière qui conduit à la convocation des États généraux par Louis XVI jusqu’aux débuts de la contre révolution en 1790-91. L’équipe de création a beaucoup travaillé et improvisé à partir de textes d’archives, avec l’appui de la dramaturge Marion Boudier et de l’historien Guillaume Mazeau. Rompant radicalement avec le mythe d’une histoire des héros, Joël Pommerat donne au passé la force du présent en s’intéressant au processus collectif révolutionnaire, à la multiplicité de ses acteurs et à son caractère improvisé. Transformant le plateau de Nanterre-Amandiers en agora, les quatorze acteurs qui endossent plusieurs rôles, proposent une histoire à hauteur d’homme et mettent la parole au centre de l’action théâtrale. Un spectacle qu’on peut voir et revoir sans jamais en épuiser la très riche matière artistique et politique.
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  • Avec Ça ira (1) Fin de Louis, présenté à Nanterre-Amandiers, l’auteur-metteur en scène Joël Pommerat donne à voir la politique et le théâtre en train de se faire. Un théâtre profondément démocratique, intelligible à tous, qui plonge le spectateur dans le bouillonnement idéologique révolutionnaire et réinterroge les nécessités de l’engagement politique. Le spectacle s’inspire des grandes lignes de l’histoire révolutionnaire, depuis la crise financière qui conduit à la convocation des États généraux par Louis XVI jusqu’aux débuts de la contre révolution en 1790-91. L’équipe de création a beaucoup travaillé et improvisé à partir de textes d’archives, avec l’appui de la dramaturge Marion Boudier et de l’historien Guillaume Mazeau. Rompant radicalement avec le mythe d’une histoire des héros, Joël Pommerat donne au passé la force du présent en s’intéressant au processus collectif révolutionnaire, à la multiplicité de ses acteurs et à son caractère improvisé. Transformant le plateau de Nanterre-Amandiers en agora, les quatorze acteurs qui endossent plusieurs rôles, proposent une histoire à hauteur d’homme et mettent la parole au centre de l’action théâtrale. Un spectacle qu’on peut voir et revoir sans jamais en épuiser la très riche matière artistique et politique.
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  • Avec Ça ira (1) Fin de Louis, présenté à Nanterre-Amandiers, l’auteur-metteur en scène Joël Pommerat donne à voir la politique et le théâtre en train de se faire. Un théâtre profondément démocratique, intelligible à tous, qui plonge le spectateur dans le bouillonnement idéologique révolutionnaire et réinterroge les nécessités de l’engagement politique. Le spectacle s’inspire des grandes lignes de l’histoire révolutionnaire, depuis la crise financière qui conduit à la convocation des États généraux par Louis XVI jusqu’aux débuts de la contre révolution en 1790-91. L’équipe de création a beaucoup travaillé et improvisé à partir de textes d’archives, avec l’appui de la dramaturge Marion Boudier et de l’historien Guillaume Mazeau. Rompant radicalement avec le mythe d’une histoire des héros, Joël Pommerat donne au passé la force du présent en s’intéressant au processus collectif révolutionnaire, à la multiplicité de ses acteurs et à son caractère improvisé. Transformant le plateau de Nanterre-Amandiers en agora, les quatorze acteurs qui endossent plusieurs rôles, proposent une histoire à hauteur d’homme et mettent la parole au centre de l’action théâtrale. Un spectacle qu’on peut voir et revoir sans jamais en épuiser la très riche matière artistique et politique.
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  • Avec Ça ira (1) Fin de Louis, présenté à Nanterre-Amandiers, l’auteur-metteur en scène Joël Pommerat donne à voir la politique et le théâtre en train de se faire. Un théâtre profondément démocratique, intelligible à tous, qui plonge le spectateur dans le bouillonnement idéologique révolutionnaire et réinterroge les nécessités de l’engagement politique. Le spectacle s’inspire des grandes lignes de l’histoire révolutionnaire, depuis la crise financière qui conduit à la convocation des États généraux par Louis XVI jusqu’aux débuts de la contre révolution en 1790-91. L’équipe de création a beaucoup travaillé et improvisé à partir de textes d’archives, avec l’appui de la dramaturge Marion Boudier et de l’historien Guillaume Mazeau. Rompant radicalement avec le mythe d’une histoire des héros, Joël Pommerat donne au passé la force du présent en s’intéressant au processus collectif révolutionnaire, à la multiplicité de ses acteurs et à son caractère improvisé. Transformant le plateau de Nanterre-Amandiers en agora, les quatorze acteurs qui endossent plusieurs rôles, proposent une histoire à hauteur d’homme et mettent la parole au centre de l’action théâtrale. Un spectacle qu’on peut voir et revoir sans jamais en épuiser la très riche matière artistique et politique.
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  • Avec Ça ira (1) Fin de Louis, présenté à Nanterre-Amandiers, l’auteur-metteur en scène Joël Pommerat donne à voir la politique et le théâtre en train de se faire. Un théâtre profondément démocratique, intelligible à tous, qui plonge le spectateur dans le bouillonnement idéologique révolutionnaire et réinterroge les nécessités de l’engagement politique. Le spectacle s’inspire des grandes lignes de l’histoire révolutionnaire, depuis la crise financière qui conduit à la convocation des États généraux par Louis XVI jusqu’aux débuts de la contre révolution en 1790-91. L’équipe de création a beaucoup travaillé et improvisé à partir de textes d’archives, avec l’appui de la dramaturge Marion Boudier et de l’historien Guillaume Mazeau. Rompant radicalement avec le mythe d’une histoire des héros, Joël Pommerat donne au passé la force du présent en s’intéressant au processus collectif révolutionnaire, à la multiplicité de ses acteurs et à son caractère improvisé. Transformant le plateau de Nanterre-Amandiers en agora, les quatorze acteurs qui endossent plusieurs rôles, proposent une histoire à hauteur d’homme et mettent la parole au centre de l’action théâtrale. Un spectacle qu’on peut voir et revoir sans jamais en épuiser la très riche matière artistique et politique.
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  • Avec Ça ira (1) Fin de Louis, présenté à Nanterre-Amandiers, l’auteur-metteur en scène Joël Pommerat donne à voir la politique et le théâtre en train de se faire. Un théâtre profondément démocratique, intelligible à tous, qui plonge le spectateur dans le bouillonnement idéologique révolutionnaire et réinterroge les nécessités de l’engagement politique. Le spectacle s’inspire des grandes lignes de l’histoire révolutionnaire, depuis la crise financière qui conduit à la convocation des États généraux par Louis XVI jusqu’aux débuts de la contre révolution en 1790-91. L’équipe de création a beaucoup travaillé et improvisé à partir de textes d’archives, avec l’appui de la dramaturge Marion Boudier et de l’historien Guillaume Mazeau. Rompant radicalement avec le mythe d’une histoire des héros, Joël Pommerat donne au passé la force du présent en s’intéressant au processus collectif révolutionnaire, à la multiplicité de ses acteurs et à son caractère improvisé. Transformant le plateau de Nanterre-Amandiers en agora, les quatorze acteurs qui endossent plusieurs rôles, proposent une histoire à hauteur d’homme et mettent la parole au centre de l’action théâtrale. Un spectacle qu’on peut voir et revoir sans jamais en épuiser la très riche matière artistique et politique.
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  • Avec Ça ira (1) Fin de Louis, présenté à Nanterre-Amandiers, l’auteur-metteur en scène Joël Pommerat donne à voir la politique et le théâtre en train de se faire. Un théâtre profondément démocratique, intelligible à tous, qui plonge le spectateur dans le bouillonnement idéologique révolutionnaire et réinterroge les nécessités de l’engagement politique. Le spectacle s’inspire des grandes lignes de l’histoire révolutionnaire, depuis la crise financière qui conduit à la convocation des États généraux par Louis XVI jusqu’aux débuts de la contre révolution en 1790-91. L’équipe de création a beaucoup travaillé et improvisé à partir de textes d’archives, avec l’appui de la dramaturge Marion Boudier et de l’historien Guillaume Mazeau. Rompant radicalement avec le mythe d’une histoire des héros, Joël Pommerat donne au passé la force du présent en s’intéressant au processus collectif révolutionnaire, à la multiplicité de ses acteurs et à son caractère improvisé. Transformant le plateau de Nanterre-Amandiers en agora, les quatorze acteurs qui endossent plusieurs rôles, proposent une histoire à hauteur d’homme et mettent la parole au centre de l’action théâtrale. Un spectacle qu’on peut voir et revoir sans jamais en épuiser la très riche matière artistique et politique.
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  • Les coulisses des préparatifs de la comédie musicale "Un américain à Paris" au Théâtre du Châtelet. Ateliers de fabrication des costumes.
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  • Les coulisses des préparatifs de la comédie musicale "Un américain à Paris" au Théâtre du Châtelet. Ateliers de fabrication des costumes.
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  • Les coulisses des préparatifs de la comédie musicale "Un américain à Paris" au Théâtre du Châtelet. Atelier des accessoiristes.
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  • Les coulisses des préparatifs de la comédie musicale "Un américain à Paris" au Théâtre du Châtelet. Ateliers de fabrication des costumes.
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  • Les coulisses des préparatifs de la comédie musicale "Un américain à Paris" au Théâtre du Châtelet. Jean-Luc Choplin, directeur du Théâtre du Châtelet.
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  • Les coulisses des préparatifs de la comédie musicale "Un américain à Paris" au Théâtre du Châtelet. Jean-Luc Choplin, directeur du Théâtre du Châtelet.
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  • Les coulisses des préparatifs de la comédie musicale "Un américain à Paris" au Théâtre du Châtelet. Bureau d'étude, conception des maquettes pour les décors.
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  • Les coulisses des préparatifs de la comédie musicale "Un américain à Paris" au Théâtre du Châtelet. Bureau d'étude, conception des maquettes pour les décors.
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  • Théâtre du Châtelet, Paris.
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  • Les coulisses des préparatifs de la comédie musicale "Un américain à Paris" au Théâtre du Châtelet. Ateliers de fabrication des costumes.
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  • Les coulisses des préparatifs de la comédie musicale "Un américain à Paris" au Théâtre du Châtelet. Ateliers de fabrication des costumes.
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  • Avec Ça ira (1) Fin de Louis, présenté à Nanterre-Amandiers, l’auteur-metteur en scène Joël Pommerat donne à voir la politique et le théâtre en train de se faire. Un théâtre profondément démocratique, intelligible à tous, qui plonge le spectateur dans le bouillonnement idéologique révolutionnaire et réinterroge les nécessités de l’engagement politique. Le spectacle s’inspire des grandes lignes de l’histoire révolutionnaire, depuis la crise financière qui conduit à la convocation des États généraux par Louis XVI jusqu’aux débuts de la contre révolution en 1790-91. L’équipe de création a beaucoup travaillé et improvisé à partir de textes d’archives, avec l’appui de la dramaturge Marion Boudier et de l’historien Guillaume Mazeau. Rompant radicalement avec le mythe d’une histoire des héros, Joël Pommerat donne au passé la force du présent en s’intéressant au processus collectif révolutionnaire, à la multiplicité de ses acteurs et à son caractère improvisé. Transformant le plateau de Nanterre-Amandiers en agora, les quatorze acteurs qui endossent plusieurs rôles, proposent une histoire à hauteur d’homme et mettent la parole au centre de l’action théâtrale. Un spectacle qu’on peut voir et revoir sans jamais en épuiser la très riche matière artistique et politique.
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  • Avec Ça ira (1) Fin de Louis, présenté à Nanterre-Amandiers, l’auteur-metteur en scène Joël Pommerat donne à voir la politique et le théâtre en train de se faire. Un théâtre profondément démocratique, intelligible à tous, qui plonge le spectateur dans le bouillonnement idéologique révolutionnaire et réinterroge les nécessités de l’engagement politique. Le spectacle s’inspire des grandes lignes de l’histoire révolutionnaire, depuis la crise financière qui conduit à la convocation des États généraux par Louis XVI jusqu’aux débuts de la contre révolution en 1790-91. L’équipe de création a beaucoup travaillé et improvisé à partir de textes d’archives, avec l’appui de la dramaturge Marion Boudier et de l’historien Guillaume Mazeau. Rompant radicalement avec le mythe d’une histoire des héros, Joël Pommerat donne au passé la force du présent en s’intéressant au processus collectif révolutionnaire, à la multiplicité de ses acteurs et à son caractère improvisé. Transformant le plateau de Nanterre-Amandiers en agora, les quatorze acteurs qui endossent plusieurs rôles, proposent une histoire à hauteur d’homme et mettent la parole au centre de l’action théâtrale. Un spectacle qu’on peut voir et revoir sans jamais en épuiser la très riche matière artistique et politique.
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  • Avec Ça ira (1) Fin de Louis, présenté à Nanterre-Amandiers, l’auteur-metteur en scène Joël Pommerat donne à voir la politique et le théâtre en train de se faire. Un théâtre profondément démocratique, intelligible à tous, qui plonge le spectateur dans le bouillonnement idéologique révolutionnaire et réinterroge les nécessités de l’engagement politique. Le spectacle s’inspire des grandes lignes de l’histoire révolutionnaire, depuis la crise financière qui conduit à la convocation des États généraux par Louis XVI jusqu’aux débuts de la contre révolution en 1790-91. L’équipe de création a beaucoup travaillé et improvisé à partir de textes d’archives, avec l’appui de la dramaturge Marion Boudier et de l’historien Guillaume Mazeau. Rompant radicalement avec le mythe d’une histoire des héros, Joël Pommerat donne au passé la force du présent en s’intéressant au processus collectif révolutionnaire, à la multiplicité de ses acteurs et à son caractère improvisé. Transformant le plateau de Nanterre-Amandiers en agora, les quatorze acteurs qui endossent plusieurs rôles, proposent une histoire à hauteur d’homme et mettent la parole au centre de l’action théâtrale. Un spectacle qu’on peut voir et revoir sans jamais en épuiser la très riche matière artistique et politique.
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  • Avec Ça ira (1) Fin de Louis, présenté à Nanterre-Amandiers, l’auteur-metteur en scène Joël Pommerat donne à voir la politique et le théâtre en train de se faire. Un théâtre profondément démocratique, intelligible à tous, qui plonge le spectateur dans le bouillonnement idéologique révolutionnaire et réinterroge les nécessités de l’engagement politique. Le spectacle s’inspire des grandes lignes de l’histoire révolutionnaire, depuis la crise financière qui conduit à la convocation des États généraux par Louis XVI jusqu’aux débuts de la contre révolution en 1790-91. L’équipe de création a beaucoup travaillé et improvisé à partir de textes d’archives, avec l’appui de la dramaturge Marion Boudier et de l’historien Guillaume Mazeau. Rompant radicalement avec le mythe d’une histoire des héros, Joël Pommerat donne au passé la force du présent en s’intéressant au processus collectif révolutionnaire, à la multiplicité de ses acteurs et à son caractère improvisé. Transformant le plateau de Nanterre-Amandiers en agora, les quatorze acteurs qui endossent plusieurs rôles, proposent une histoire à hauteur d’homme et mettent la parole au centre de l’action théâtrale. Un spectacle qu’on peut voir et revoir sans jamais en épuiser la très riche matière artistique et politique.
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  • Avec Ça ira (1) Fin de Louis, présenté à Nanterre-Amandiers, l’auteur-metteur en scène Joël Pommerat donne à voir la politique et le théâtre en train de se faire. Un théâtre profondément démocratique, intelligible à tous, qui plonge le spectateur dans le bouillonnement idéologique révolutionnaire et réinterroge les nécessités de l’engagement politique. Le spectacle s’inspire des grandes lignes de l’histoire révolutionnaire, depuis la crise financière qui conduit à la convocation des États généraux par Louis XVI jusqu’aux débuts de la contre révolution en 1790-91. L’équipe de création a beaucoup travaillé et improvisé à partir de textes d’archives, avec l’appui de la dramaturge Marion Boudier et de l’historien Guillaume Mazeau. Rompant radicalement avec le mythe d’une histoire des héros, Joël Pommerat donne au passé la force du présent en s’intéressant au processus collectif révolutionnaire, à la multiplicité de ses acteurs et à son caractère improvisé. Transformant le plateau de Nanterre-Amandiers en agora, les quatorze acteurs qui endossent plusieurs rôles, proposent une histoire à hauteur d’homme et mettent la parole au centre de l’action théâtrale. Un spectacle qu’on peut voir et revoir sans jamais en épuiser la très riche matière artistique et politique.
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  • Avec Ça ira (1) Fin de Louis, présenté à Nanterre-Amandiers, l’auteur-metteur en scène Joël Pommerat donne à voir la politique et le théâtre en train de se faire. Un théâtre profondément démocratique, intelligible à tous, qui plonge le spectateur dans le bouillonnement idéologique révolutionnaire et réinterroge les nécessités de l’engagement politique. Le spectacle s’inspire des grandes lignes de l’histoire révolutionnaire, depuis la crise financière qui conduit à la convocation des États généraux par Louis XVI jusqu’aux débuts de la contre révolution en 1790-91. L’équipe de création a beaucoup travaillé et improvisé à partir de textes d’archives, avec l’appui de la dramaturge Marion Boudier et de l’historien Guillaume Mazeau. Rompant radicalement avec le mythe d’une histoire des héros, Joël Pommerat donne au passé la force du présent en s’intéressant au processus collectif révolutionnaire, à la multiplicité de ses acteurs et à son caractère improvisé. Transformant le plateau de Nanterre-Amandiers en agora, les quatorze acteurs qui endossent plusieurs rôles, proposent une histoire à hauteur d’homme et mettent la parole au centre de l’action théâtrale. Un spectacle qu’on peut voir et revoir sans jamais en épuiser la très riche matière artistique et politique.
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  • Avec Ça ira (1) Fin de Louis, présenté à Nanterre-Amandiers, l’auteur-metteur en scène Joël Pommerat donne à voir la politique et le théâtre en train de se faire. Un théâtre profondément démocratique, intelligible à tous, qui plonge le spectateur dans le bouillonnement idéologique révolutionnaire et réinterroge les nécessités de l’engagement politique. Le spectacle s’inspire des grandes lignes de l’histoire révolutionnaire, depuis la crise financière qui conduit à la convocation des États généraux par Louis XVI jusqu’aux débuts de la contre révolution en 1790-91. L’équipe de création a beaucoup travaillé et improvisé à partir de textes d’archives, avec l’appui de la dramaturge Marion Boudier et de l’historien Guillaume Mazeau. Rompant radicalement avec le mythe d’une histoire des héros, Joël Pommerat donne au passé la force du présent en s’intéressant au processus collectif révolutionnaire, à la multiplicité de ses acteurs et à son caractère improvisé. Transformant le plateau de Nanterre-Amandiers en agora, les quatorze acteurs qui endossent plusieurs rôles, proposent une histoire à hauteur d’homme et mettent la parole au centre de l’action théâtrale. Un spectacle qu’on peut voir et revoir sans jamais en épuiser la très riche matière artistique et politique.
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  • Xavier Croci, directeur du théâtre. Le Forum du Blanc-Mesnil accueille ses derniers spectacles. Jeudi 13 novembre 2015, le nouveau maire UMP a mis fin à la convention qui liait le Forum, la Ville, les autres collectivités territoriales et l’État. L’association qui fait vivre le lieu ne survivra pas au-delà de fin décembre.<br />
Ce sont vingt emplois permanents menacés ; deux-cents à deux-cent-cinquante intermittents déprogrammés pour la fin de la saison ; six compagnies en résidence fragilisées. Ce sont aussi des liens humains qui tissaient une ville au quotidien qui disparaissent. Les crèches, les écoles, les collèges, les lycées, les hôpitaux, les centres sociaux, les services municipaux, les maisons de retraites, les associations menaient avec les artistes en résidence des projets de toutes sortes depuis une quinzaine d’années.
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  • Les coulisses des préparatifs de la comédie musicale "Un américain à Paris" au Théâtre du Châtelet. Ateliers de fabrication des costumes.
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  • Les coulisses des préparatifs de la comédie musicale "Un américain à Paris" au Théâtre du Châtelet. Bureau d'étude, conception des maquettes pour les décors.
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  • Les coulisses des préparatifs de la comédie musicale "Un américain à Paris" au Théâtre du Châtelet. Bureau d'étude, conception des maquettes pour les décors.
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  • Théâtre du Châtelet, Paris.
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  • Les coulisses des préparatifs de la comédie musicale "Un américain à Paris" au Théâtre du Châtelet. Ateliers de fabrication des costumes.
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  • Les coulisses des préparatifs de la comédie musicale "Un américain à Paris" au Théâtre du Châtelet. Ateliers de fabrication des costumes.
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  • Théâtre du Châtelet, Paris.
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  • Les coulisses des préparatifs de la comédie musicale "Un américain à Paris" au Théâtre du Châtelet. Ateliers de fabrication des costumes.
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  • Des adolescents de l’institut médico-éducatif découvrent la<br />
lumière avec le régisseur de scène. Le Forum du Blanc-Mesnil accueille ses derniers spectacles. Jeudi 13 novembre 2015, le nouveau maire UMP a mis fin à la convention qui liait le Forum, la Ville, les autres collectivités territoriales et l’État. L’association qui fait vivre le lieu ne survivra pas au-delà de fin décembre.<br />
Ce sont vingt emplois permanents menacés ; deux-cents à deux-cent-cinquante intermittents déprogrammés pour la fin de la saison ; six compagnies en résidence fragilisées. Ce sont aussi des liens humains qui tissaient une ville au quotidien qui disparaissent. Les crèches, les écoles, les collèges, les lycées, les hôpitaux, les centres sociaux, les services municipaux, les maisons de retraites, les associations menaient avec les artistes en résidence des projets de toutes sortes depuis une quinzaine d’années.
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  • Une harpiste de<br />
l’orchestre des Siècles en résidence au Forum arrive une rencontre dans un café associatif des Tilleuls, un quartier ordinaire de banlieue avec ses tours, ses<br />
canapés pour dealers sous les porches et ses grilles de<br />
magasins fermés. <br />
Jeudi 13 novembre 2015, le nouveau maire UMP a mis fin à la convention qui liait le Forum, la Ville, les autres collectivités territoriales et l’État. L’association qui fait vivre le lieu ne survivra pas au-delà de fin décembre.<br />
Ce sont vingt emplois permanents menacés ; deux-cents à deux-cent-cinquante intermittents déprogrammés pour la fin de la saison ; six compagnies en résidence fragilisées. Ce sont aussi des liens humains qui tissaient une ville au quotidien qui disparaissent. Les crèches, les écoles, les collèges, les lycées, les hôpitaux, les centres sociaux, les services municipaux, les maisons de retraites, les associations menaient avec les artistes en résidence des projets de toutes sortes depuis une quinzaine d’années.
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  • Les bureaux des attachés aux relations avec le public. Le Forum du Blanc-Mesnil accueille ses derniers spectacles. Jeudi 13 novembre 2015, le nouveau maire UMP a mis fin à la convention qui liait le Forum, la Ville, les autres collectivités territoriales et l’État. L’association qui fait vivre le lieu ne survivra pas au-delà de fin décembre.<br />
Ce sont vingt emplois permanents menacés ; deux-cents à deux-cent-cinquante intermittents déprogrammés pour la fin de la saison ; six compagnies en résidence fragilisées. Ce sont aussi des liens humains qui tissaient une ville au quotidien qui disparaissent. Les crèches, les écoles, les collèges, les lycées, les hôpitaux, les centres sociaux, les services municipaux, les maisons de retraites, les associations menaient avec les artistes en résidence des projets de toutes sortes depuis une quinzaine d’années.
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  • Le Forum du Blanc-Mesnil accueille ses derniers spectacles. Jeudi 13 novembre 2015, le nouveau maire UMP a mis fin à la convention qui liait le Forum, la Ville, les autres collectivités territoriales et l’État. L’association qui fait vivre le lieu ne survivra pas au-delà de fin décembre.<br />
Ce sont vingt emplois permanents menacés ; deux-cents à deux-cent-cinquante intermittents déprogrammés pour la fin de la saison ; six compagnies en résidence fragilisées. Ce sont aussi des liens humains qui tissaient une ville au quotidien qui disparaissent. Les crèches, les écoles, les collèges, les lycées, les hôpitaux, les centres sociaux, les services municipaux, les maisons de retraites, les associations menaient avec les artistes en résidence des projets de toutes sortes depuis une quinzaine d’années.
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  • Mobilisation des habitants lors du conseil<br />
municipal du 13 novembre 2015 du Blanc-Mesnil alors que le nouveau maire UMP met fin à la convention qui liait le Forum, la Ville, les autres collectivités territoriales et l’État. L’association qui fait vivre le lieu ne survivra pas au-delà de fin décembre.<br />
Ce sont vingt emplois permanents menacés ; deux-cents à deux-cent-cinquante intermittents déprogrammés pour la fin de la saison ; six compagnies en résidence fragilisées. Ce sont aussi des liens humains qui tissaient une ville au quotidien qui disparaissent. Les crèches, les écoles, les collèges, les lycées, les hôpitaux, les centres sociaux, les services municipaux, les maisons de retraites, les associations menaient avec les artistes en résidence des projets de toutes sortes depuis une quinzaine d’années.
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  • Mobilisation des habitants lors du conseil<br />
municipal du 13 novembre 2015 du Blanc-Mesnil alors que le nouveau maire UMP met fin à la convention qui liait le Forum, la Ville, les autres collectivités territoriales et l’État. L’association qui fait vivre le lieu ne survivra pas au-delà de fin décembre.<br />
Ce sont vingt emplois permanents menacés ; deux-cents à deux-cent-cinquante intermittents déprogrammés pour la fin de la saison ; six compagnies en résidence fragilisées. Ce sont aussi des liens humains qui tissaient une ville au quotidien qui disparaissent. Les crèches, les écoles, les collèges, les lycées, les hôpitaux, les centres sociaux, les services municipaux, les maisons de retraites, les associations menaient avec les artistes en résidence des projets de toutes sortes depuis une quinzaine d’années.
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  • L’Encyclopédie de la parole est un projet collectif initié par Joris Lacoste en 2007 qui cherche à appréhender transversalement la diversité des formes orales. Toutes sortes d'enregistrements sont répertoriés comme phénomènes particuliers de la parole et servent de matière pour produire des pièces sonores, des spectacles, des performances, des conférences, des installations etc. L’Encyclopédie de la parole est animée par un collectif de poètes, d'acteurs, d'artistes plasticiens, d'ethnographes, de musiciens, de curateurs, de metteurs en scène, de dramaturges, de chorégraphes, de réalisateurs de radio. Son slogan est : "Nous sommes tous des experts de la parole".
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  • L’Encyclopédie de la parole est un projet collectif initié par Joris Lacoste en 2007 qui cherche à appréhender transversalement la diversité des formes orales. Toutes sortes d'enregistrements sont répertoriés comme phénomènes particuliers de la parole et servent de matière pour produire des pièces sonores, des spectacles, des performances, des conférences, des installations etc. L’Encyclopédie de la parole est animée par un collectif de poètes, d'acteurs, d'artistes plasticiens, d'ethnographes, de musiciens, de curateurs, de metteurs en scène, de dramaturges, de chorégraphes, de réalisateurs de radio. Son slogan est : "Nous sommes tous des experts de la parole".
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  • L’Encyclopédie de la parole est un projet collectif initié par Joris Lacoste en 2007 qui cherche à appréhender transversalement la diversité des formes orales. Toutes sortes d'enregistrements sont répertoriés comme phénomènes particuliers de la parole et servent de matière pour produire des pièces sonores, des spectacles, des performances, des conférences, des installations etc. L’Encyclopédie de la parole est animée par un collectif de poètes, d'acteurs, d'artistes plasticiens, d'ethnographes, de musiciens, de curateurs, de metteurs en scène, de dramaturges, de chorégraphes, de réalisateurs de radio. Son slogan est : "Nous sommes tous des experts de la parole".
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  • L’Encyclopédie de la parole est un projet collectif initié par Joris Lacoste en 2007 qui cherche à appréhender transversalement la diversité des formes orales. Toutes sortes d'enregistrements sont répertoriés comme phénomènes particuliers de la parole et servent de matière pour produire des pièces sonores, des spectacles, des performances, des conférences, des installations etc. L’Encyclopédie de la parole est animée par un collectif de poètes, d'acteurs, d'artistes plasticiens, d'ethnographes, de musiciens, de curateurs, de metteurs en scène, de dramaturges, de chorégraphes, de réalisateurs de radio. Son slogan est : "Nous sommes tous des experts de la parole".
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  • L’Encyclopédie de la parole est un projet collectif initié par Joris Lacoste en 2007 qui cherche à appréhender transversalement la diversité des formes orales. Toutes sortes d'enregistrements sont répertoriés comme phénomènes particuliers de la parole et servent de matière pour produire des pièces sonores, des spectacles, des performances, des conférences, des installations etc. L’Encyclopédie de la parole est animée par un collectif de poètes, d'acteurs, d'artistes plasticiens, d'ethnographes, de musiciens, de curateurs, de metteurs en scène, de dramaturges, de chorégraphes, de réalisateurs de radio. Son slogan est : "Nous sommes tous des experts de la parole".
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  • L’Encyclopédie de la parole est un projet collectif initié par Joris Lacoste en 2007 qui cherche à appréhender transversalement la diversité des formes orales. Toutes sortes d'enregistrements sont répertoriés comme phénomènes particuliers de la parole et servent de matière pour produire des pièces sonores, des spectacles, des performances, des conférences, des installations etc. L’Encyclopédie de la parole est animée par un collectif de poètes, d'acteurs, d'artistes plasticiens, d'ethnographes, de musiciens, de curateurs, de metteurs en scène, de dramaturges, de chorégraphes, de réalisateurs de radio. Son slogan est : "Nous sommes tous des experts de la parole".
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  • L’Encyclopédie de la parole est un projet collectif initié par Joris Lacoste en 2007 qui cherche à appréhender transversalement la diversité des formes orales. Toutes sortes d'enregistrements sont répertoriés comme phénomènes particuliers de la parole et servent de matière pour produire des pièces sonores, des spectacles, des performances, des conférences, des installations etc. L’Encyclopédie de la parole est animée par un collectif de poètes, d'acteurs, d'artistes plasticiens, d'ethnographes, de musiciens, de curateurs, de metteurs en scène, de dramaturges, de chorégraphes, de réalisateurs de radio. Son slogan est : "Nous sommes tous des experts de la parole".
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  • L’Encyclopédie de la parole est un projet collectif initié par Joris Lacoste en 2007 qui cherche à appréhender transversalement la diversité des formes orales. Toutes sortes d'enregistrements sont répertoriés comme phénomènes particuliers de la parole et servent de matière pour produire des pièces sonores, des spectacles, des performances, des conférences, des installations etc. L’Encyclopédie de la parole est animée par un collectif de poètes, d'acteurs, d'artistes plasticiens, d'ethnographes, de musiciens, de curateurs, de metteurs en scène, de dramaturges, de chorégraphes, de réalisateurs de radio. Son slogan est : "Nous sommes tous des experts de la parole".
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  • Mardi 18 novembre, Maguy Marin présente Bit, en partenariat avec le Festival d’Automne. Le Forum du Blanc-Mesnil accueille ses derniers spectacles. Jeudi 13 novembre, le nouveau maire UMP a mis fin à la convention qui liait le Forum, la Ville, les autres collectivités territoriales et l’État. L’association qui fait vivre le lieu ne survivra pas au-delà de fin décembre.<br />
<br />
Ce sont vingt emplois permanents menacés ; deux-cents à deux-cent-cinquante intermittents déprogrammés pour la fin de la saison ; six compagnies en résidence fragilisées. Ce sont aussi des liens humains qui tissaient une ville au quotidien qui disparaissent. Les crèches, les écoles, les collèges, les lycées, les hôpitaux, les centres sociaux, les services municipaux, les maisons de retraites, les associations menaient avec les artistes en résidence des projets de toutes sortes depuis une quinzaine d’années.
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  • Le Forum du Blanc-Mesnil accueille ses derniers spectacles. Jeudi 13 novembre 2015, le nouveau maire UMP a mis fin à la convention qui liait le Forum, la Ville, les autres collectivités territoriales et l’État. L’association qui fait vivre le lieu ne survivra pas au-delà de fin décembre.<br />
Ce sont vingt emplois permanents menacés ; deux-cents à deux-cent-cinquante intermittents déprogrammés pour la fin de la saison ; six compagnies en résidence fragilisées. Ce sont aussi des liens humains qui tissaient une ville au quotidien qui disparaissent. Les crèches, les écoles, les collèges, les lycées, les hôpitaux, les centres sociaux, les services municipaux, les maisons de retraites, les associations menaient avec les artistes en résidence des projets de toutes sortes depuis une quinzaine d’années.
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  • Le Forum du Blanc-Mesnil accueille ses derniers spectacles. Jeudi 13 novembre 2015, le nouveau maire UMP a mis fin à la convention qui liait le Forum, la Ville, les autres collectivités territoriales et l’État. L’association qui fait vivre le lieu ne survivra pas au-delà de fin décembre.<br />
Ce sont vingt emplois permanents menacés ; deux-cents à deux-cent-cinquante intermittents déprogrammés pour la fin de la saison ; six compagnies en résidence fragilisées. Ce sont aussi des liens humains qui tissaient une ville au quotidien qui disparaissent. Les crèches, les écoles, les collèges, les lycées, les hôpitaux, les centres sociaux, les services municipaux, les maisons de retraites, les associations menaient avec les artistes en résidence des projets de toutes sortes depuis une quinzaine d’années.
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  • Les élèves en décrochage scolaire visitent une<br />
exposition du collectif Tendance floue. Le Forum du Blanc-Mesnil accueille ses derniers spectacles. Jeudi 13 novembre 2015, le nouveau maire UMP a mis fin à la convention qui liait le Forum, la Ville, les autres collectivités territoriales et l’État. L’association qui fait vivre le lieu ne survivra pas au-delà de fin décembre.<br />
Ce sont vingt emplois permanents menacés ; deux-cents à deux-cent-cinquante intermittents déprogrammés pour la fin de la saison ; six compagnies en résidence fragilisées. Ce sont aussi des liens humains qui tissaient une ville au quotidien qui disparaissent. Les crèches, les écoles, les collèges, les lycées, les hôpitaux, les centres sociaux, les services municipaux, les maisons de retraites, les associations menaient avec les artistes en résidence des projets de toutes sortes depuis une quinzaine d’années.
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  • Le Forum du Blanc-Mesnil accueille ses derniers spectacles. Jeudi 13 novembre 2015, le nouveau maire UMP a mis fin à la convention qui liait le Forum, la Ville, les autres collectivités territoriales et l’État. L’association qui fait vivre le lieu ne survivra pas au-delà de fin décembre.<br />
Ce sont vingt emplois permanents menacés ; deux-cents à deux-cent-cinquante intermittents déprogrammés pour la fin de la saison ; six compagnies en résidence fragilisées. Ce sont aussi des liens humains qui tissaient une ville au quotidien qui disparaissent. Les crèches, les écoles, les collèges, les lycées, les hôpitaux, les centres sociaux, les services municipaux, les maisons de retraites, les associations menaient avec les artistes en résidence des projets de toutes sortes depuis une quinzaine d’années.
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  • Le Forum du Blanc-Mesnil accueille ses derniers spectacles. Jeudi 13 novembre 2015, le nouveau maire UMP a mis fin à la convention qui liait le Forum, la Ville, les autres collectivités territoriales et l’État. L’association qui fait vivre le lieu ne survivra pas au-delà de fin décembre.<br />
Ce sont vingt emplois permanents menacés ; deux-cents à deux-cent-cinquante intermittents déprogrammés pour la fin de la saison ; six compagnies en résidence fragilisées. Ce sont aussi des liens humains qui tissaient une ville au quotidien qui disparaissent. Les crèches, les écoles, les collèges, les lycées, les hôpitaux, les centres sociaux, les services municipaux, les maisons de retraites, les associations menaient avec les artistes en résidence des projets de toutes sortes depuis une quinzaine d’années.
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  • Le Forum du Blanc-Mesnil accueille ses derniers spectacles. Jeudi 13 novembre 2015, le nouveau maire UMP a mis fin à la convention qui liait le Forum, la Ville, les autres collectivités territoriales et l’État. L’association qui fait vivre le lieu ne survivra pas au-delà de fin décembre.<br />
Ce sont vingt emplois permanents menacés ; deux-cents à deux-cent-cinquante intermittents déprogrammés pour la fin de la saison ; six compagnies en résidence fragilisées. Ce sont aussi des liens humains qui tissaient une ville au quotidien qui disparaissent. Les crèches, les écoles, les collèges, les lycées, les hôpitaux, les centres sociaux, les services municipaux, les maisons de retraites, les associations menaient avec les artistes en résidence des projets de toutes sortes depuis une quinzaine d’années.
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  • Les élèves en décrochage scolaire visitent une<br />
exposition du collectif Tendance floue. Le Forum du Blanc-Mesnil accueille ses derniers spectacles. Jeudi 13 novembre 2015, le nouveau maire UMP a mis fin à la convention qui liait le Forum, la Ville, les autres collectivités territoriales et l’État. L’association qui fait vivre le lieu ne survivra pas au-delà de fin décembre.<br />
Ce sont vingt emplois permanents menacés ; deux-cents à deux-cent-cinquante intermittents déprogrammés pour la fin de la saison ; six compagnies en résidence fragilisées. Ce sont aussi des liens humains qui tissaient une ville au quotidien qui disparaissent. Les crèches, les écoles, les collèges, les lycées, les hôpitaux, les centres sociaux, les services municipaux, les maisons de retraites, les associations menaient avec les artistes en résidence des projets de toutes sortes depuis une quinzaine d’années.
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  • L’Encyclopédie de la parole est un projet collectif initié par Joris Lacoste en 2007 qui cherche à appréhender transversalement la diversité des formes orales. Toutes sortes d'enregistrements sont répertoriés comme phénomènes particuliers de la parole et servent de matière pour produire des pièces sonores, des spectacles, des performances, des conférences, des installations etc. L’Encyclopédie de la parole est animée par un collectif de poètes, d'acteurs, d'artistes plasticiens, d'ethnographes, de musiciens, de curateurs, de metteurs en scène, de dramaturges, de chorégraphes, de réalisateurs de radio. Son slogan est : "Nous sommes tous des experts de la parole".
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  • L’Encyclopédie de la parole est un projet collectif initié par Joris Lacoste en 2007 qui cherche à appréhender transversalement la diversité des formes orales. Toutes sortes d'enregistrements sont répertoriés comme phénomènes particuliers de la parole et servent de matière pour produire des pièces sonores, des spectacles, des performances, des conférences, des installations etc. L’Encyclopédie de la parole est animée par un collectif de poètes, d'acteurs, d'artistes plasticiens, d'ethnographes, de musiciens, de curateurs, de metteurs en scène, de dramaturges, de chorégraphes, de réalisateurs de radio. Son slogan est : "Nous sommes tous des experts de la parole".
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  • L’Encyclopédie de la parole est un projet collectif initié par Joris Lacoste en 2007 qui cherche à appréhender transversalement la diversité des formes orales. Toutes sortes d'enregistrements sont répertoriés comme phénomènes particuliers de la parole et servent de matière pour produire des pièces sonores, des spectacles, des performances, des conférences, des installations etc. L’Encyclopédie de la parole est animée par un collectif de poètes, d'acteurs, d'artistes plasticiens, d'ethnographes, de musiciens, de curateurs, de metteurs en scène, de dramaturges, de chorégraphes, de réalisateurs de radio. Son slogan est : "Nous sommes tous des experts de la parole".
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  • L’Encyclopédie de la parole est un projet collectif initié par Joris Lacoste en 2007 qui cherche à appréhender transversalement la diversité des formes orales. Toutes sortes d'enregistrements sont répertoriés comme phénomènes particuliers de la parole et servent de matière pour produire des pièces sonores, des spectacles, des performances, des conférences, des installations etc. L’Encyclopédie de la parole est animée par un collectif de poètes, d'acteurs, d'artistes plasticiens, d'ethnographes, de musiciens, de curateurs, de metteurs en scène, de dramaturges, de chorégraphes, de réalisateurs de radio. Son slogan est : "Nous sommes tous des experts de la parole".
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  • L’Encyclopédie de la parole est un projet collectif initié par Joris Lacoste en 2007 qui cherche à appréhender transversalement la diversité des formes orales. Toutes sortes d'enregistrements sont répertoriés comme phénomènes particuliers de la parole et servent de matière pour produire des pièces sonores, des spectacles, des performances, des conférences, des installations etc. L’Encyclopédie de la parole est animée par un collectif de poètes, d'acteurs, d'artistes plasticiens, d'ethnographes, de musiciens, de curateurs, de metteurs en scène, de dramaturges, de chorégraphes, de réalisateurs de radio. Son slogan est : "Nous sommes tous des experts de la parole".
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  • L’Encyclopédie de la parole est un projet collectif initié par Joris Lacoste en 2007 qui cherche à appréhender transversalement la diversité des formes orales. Toutes sortes d'enregistrements sont répertoriés comme phénomènes particuliers de la parole et servent de matière pour produire des pièces sonores, des spectacles, des performances, des conférences, des installations etc. L’Encyclopédie de la parole est animée par un collectif de poètes, d'acteurs, d'artistes plasticiens, d'ethnographes, de musiciens, de curateurs, de metteurs en scène, de dramaturges, de chorégraphes, de réalisateurs de radio. Son slogan est : "Nous sommes tous des experts de la parole".
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  • Le Forum du Blanc-Mesnil accueille ses derniers spectacles. Jeudi 13 novembre 2015, le nouveau maire UMP a mis fin à la convention qui liait le Forum, la Ville, les autres collectivités territoriales et l’État. L’association qui fait vivre le lieu ne survivra pas au-delà de fin décembre.<br />
Ce sont vingt emplois permanents menacés ; deux-cents à deux-cent-cinquante intermittents déprogrammés pour la fin de la saison ; six compagnies en résidence fragilisées. Ce sont aussi des liens humains qui tissaient une ville au quotidien qui disparaissent. Les crèches, les écoles, les collèges, les lycées, les hôpitaux, les centres sociaux, les services municipaux, les maisons de retraites, les associations menaient avec les artistes en résidence des projets de toutes sortes depuis une quinzaine d’années.
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  • Le Forum du Blanc-Mesnil accueille ses derniers spectacles. Jeudi 13 novembre 2015, le nouveau maire UMP a mis fin à la convention qui liait le Forum, la Ville, les autres collectivités territoriales et l’État. L’association qui fait vivre le lieu ne survivra pas au-delà de fin décembre.<br />
Ce sont vingt emplois permanents menacés ; deux-cents à deux-cent-cinquante intermittents déprogrammés pour la fin de la saison ; six compagnies en résidence fragilisées. Ce sont aussi des liens humains qui tissaient une ville au quotidien qui disparaissent. Les crèches, les écoles, les collèges, les lycées, les hôpitaux, les centres sociaux, les services municipaux, les maisons de retraites, les associations menaient avec les artistes en résidence des projets de toutes sortes depuis une quinzaine d’années.
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  • Le Forum du Blanc-Mesnil accueille ses derniers spectacles. Jeudi 13 novembre 2015, le nouveau maire UMP a mis fin à la convention qui liait le Forum, la Ville, les autres collectivités territoriales et l’État. L’association qui fait vivre le lieu ne survivra pas au-delà de fin décembre.<br />
Ce sont vingt emplois permanents menacés ; deux-cents à deux-cent-cinquante intermittents déprogrammés pour la fin de la saison ; six compagnies en résidence fragilisées. Ce sont aussi des liens humains qui tissaient une ville au quotidien qui disparaissent. Les crèches, les écoles, les collèges, les lycées, les hôpitaux, les centres sociaux, les services municipaux, les maisons de retraites, les associations menaient avec les artistes en résidence des projets de toutes sortes depuis une quinzaine d’années.
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  • Les élèves en décrochage scolaire visitent une<br />
exposition du collectif Tendance floue. Le Forum du Blanc-Mesnil accueille ses derniers spectacles. Jeudi 13 novembre 2015, le nouveau maire UMP a mis fin à la convention qui liait le Forum, la Ville, les autres collectivités territoriales et l’État. L’association qui fait vivre le lieu ne survivra pas au-delà de fin décembre.<br />
Ce sont vingt emplois permanents menacés ; deux-cents à deux-cent-cinquante intermittents déprogrammés pour la fin de la saison ; six compagnies en résidence fragilisées. Ce sont aussi des liens humains qui tissaient une ville au quotidien qui disparaissent. Les crèches, les écoles, les collèges, les lycées, les hôpitaux, les centres sociaux, les services municipaux, les maisons de retraites, les associations menaient avec les artistes en résidence des projets de toutes sortes depuis une quinzaine d’années.
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  • Le Forum du Blanc-Mesnil accueille ses derniers spectacles. Jeudi 13 novembre 2015, le nouveau maire UMP a mis fin à la convention qui liait le Forum, la Ville, les autres collectivités territoriales et l’État. L’association qui fait vivre le lieu ne survivra pas au-delà de fin décembre.<br />
Ce sont vingt emplois permanents menacés ; deux-cents à deux-cent-cinquante intermittents déprogrammés pour la fin de la saison ; six compagnies en résidence fragilisées. Ce sont aussi des liens humains qui tissaient une ville au quotidien qui disparaissent. Les crèches, les écoles, les collèges, les lycées, les hôpitaux, les centres sociaux, les services municipaux, les maisons de retraites, les associations menaient avec les artistes en résidence des projets de toutes sortes depuis une quinzaine d’années.
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  • Mobilisation des habitants lors du conseil<br />
municipal du 13 novembre 2015 du Blanc-Mesnil alors que le nouveau maire UMP met fin à la convention qui liait le Forum, la Ville, les autres collectivités territoriales et l’État. L’association qui fait vivre le lieu ne survivra pas au-delà de fin décembre.<br />
Ce sont vingt emplois permanents menacés ; deux-cents à deux-cent-cinquante intermittents déprogrammés pour la fin de la saison ; six compagnies en résidence fragilisées. Ce sont aussi des liens humains qui tissaient une ville au quotidien qui disparaissent. Les crèches, les écoles, les collèges, les lycées, les hôpitaux, les centres sociaux, les services municipaux, les maisons de retraites, les associations menaient avec les artistes en résidence des projets de toutes sortes depuis une quinzaine d’années.
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  • Mobilisation des habitants lors du conseil<br />
municipal du 13 novembre 2015 du Blanc-Mesnil alors que le nouveau maire UMP met fin à la convention qui liait le Forum, la Ville, les autres collectivités territoriales et l’État. L’association qui fait vivre le lieu ne survivra pas au-delà de fin décembre.<br />
Ce sont vingt emplois permanents menacés ; deux-cents à deux-cent-cinquante intermittents déprogrammés pour la fin de la saison ; six compagnies en résidence fragilisées. Ce sont aussi des liens humains qui tissaient une ville au quotidien qui disparaissent. Les crèches, les écoles, les collèges, les lycées, les hôpitaux, les centres sociaux, les services municipaux, les maisons de retraites, les associations menaient avec les artistes en résidence des projets de toutes sortes depuis une quinzaine d’années.
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  • Mobilisation des habitants lors du conseil<br />
municipal du 13 novembre 2015 du Blanc-Mesnil alors que le nouveau maire UMP met fin à la convention qui liait le Forum, la Ville, les autres collectivités territoriales et l’État. L’association qui fait vivre le lieu ne survivra pas au-delà de fin décembre.<br />
Ce sont vingt emplois permanents menacés ; deux-cents à deux-cent-cinquante intermittents déprogrammés pour la fin de la saison ; six compagnies en résidence fragilisées. Ce sont aussi des liens humains qui tissaient une ville au quotidien qui disparaissent. Les crèches, les écoles, les collèges, les lycées, les hôpitaux, les centres sociaux, les services municipaux, les maisons de retraites, les associations menaient avec les artistes en résidence des projets de toutes sortes depuis une quinzaine d’années.
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  • L’Encyclopédie de la parole est un projet collectif initié par Joris Lacoste en 2007 qui cherche à appréhender transversalement la diversité des formes orales. Toutes sortes d'enregistrements sont répertoriés comme phénomènes particuliers de la parole et servent de matière pour produire des pièces sonores, des spectacles, des performances, des conférences, des installations etc. L’Encyclopédie de la parole est animée par un collectif de poètes, d'acteurs, d'artistes plasticiens, d'ethnographes, de musiciens, de curateurs, de metteurs en scène, de dramaturges, de chorégraphes, de réalisateurs de radio. Son slogan est : "Nous sommes tous des experts de la parole".
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  • L’Encyclopédie de la parole est un projet collectif initié par Joris Lacoste en 2007 qui cherche à appréhender transversalement la diversité des formes orales. Toutes sortes d'enregistrements sont répertoriés comme phénomènes particuliers de la parole et servent de matière pour produire des pièces sonores, des spectacles, des performances, des conférences, des installations etc. L’Encyclopédie de la parole est animée par un collectif de poètes, d'acteurs, d'artistes plasticiens, d'ethnographes, de musiciens, de curateurs, de metteurs en scène, de dramaturges, de chorégraphes, de réalisateurs de radio. Son slogan est : "Nous sommes tous des experts de la parole".
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  • L’Encyclopédie de la parole est un projet collectif initié par Joris Lacoste en 2007 qui cherche à appréhender transversalement la diversité des formes orales. Toutes sortes d'enregistrements sont répertoriés comme phénomènes particuliers de la parole et servent de matière pour produire des pièces sonores, des spectacles, des performances, des conférences, des installations etc. L’Encyclopédie de la parole est animée par un collectif de poètes, d'acteurs, d'artistes plasticiens, d'ethnographes, de musiciens, de curateurs, de metteurs en scène, de dramaturges, de chorégraphes, de réalisateurs de radio. Son slogan est : "Nous sommes tous des experts de la parole".
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  • L’Encyclopédie de la parole est un projet collectif initié par Joris Lacoste en 2007 qui cherche à appréhender transversalement la diversité des formes orales. Toutes sortes d'enregistrements sont répertoriés comme phénomènes particuliers de la parole et servent de matière pour produire des pièces sonores, des spectacles, des performances, des conférences, des installations etc. L’Encyclopédie de la parole est animée par un collectif de poètes, d'acteurs, d'artistes plasticiens, d'ethnographes, de musiciens, de curateurs, de metteurs en scène, de dramaturges, de chorégraphes, de réalisateurs de radio. Son slogan est : "Nous sommes tous des experts de la parole".
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  • L’Encyclopédie de la parole est un projet collectif initié par Joris Lacoste en 2007 qui cherche à appréhender transversalement la diversité des formes orales. Toutes sortes d'enregistrements sont répertoriés comme phénomènes particuliers de la parole et servent de matière pour produire des pièces sonores, des spectacles, des performances, des conférences, des installations etc. L’Encyclopédie de la parole est animée par un collectif de poètes, d'acteurs, d'artistes plasticiens, d'ethnographes, de musiciens, de curateurs, de metteurs en scène, de dramaturges, de chorégraphes, de réalisateurs de radio. Son slogan est : "Nous sommes tous des experts de la parole".
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  • Théâtre du Châtelet, Paris.
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  • Théâtre du lavoir moderne, Paris.
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